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07/02/2016

Coquine...

De ces petits matins où rien n’oblige, où le sommeil est maître de son destin, où les rêves ont tout leur temps, que j’aime ces songes langoureux où tu viens me visiter, avec ou sans robe rouge, mais toujours sourires, tendresses et…

 

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Le mot du jour : Langoureux.
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02/01/2016

Coup de chaud...

D’une rousse beauté elle était si belle

Que derechef je lui propose la bagatelle

« Je te vends mes charmes pour une bagatelle »

Un tarif qu’elle pourrait s’acheter Bagatelle

De dépit je poussai un juron : bagatelle !

 

 

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Le mot du jour : Bagatelle
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31/10/2015

Chic ! Des dessous...

 

Le mot du jour y faisant forcément penser, dois-je me prononcer sur un sujet aussi délicat que le rare bout de tissu et sa fameuse ficelle qui compose ce petit accessoire vestimentaire dont le prix est inversement proportionnel à sa surface de recouvrement ?

Tous les derrières du monde, les popotins plus ou moins mignons, les paires de fesses innombrables sont-ils compatibles avec le port du string ?

J’interviens ici de mon point de vue masculin, d’une voix virile et ferme, une voix de mec quoi !

 

Personnellement je n’en mets pas. J’avoue que sur un homme cela me laisse froid, et aurais même tendance à me confirmer que le ridicule ne tue pas. J’y vois comme un ressort comique non négligeable. Je ne trouve pas que la chose sied à une paire de fesses masculine. Et pour que j’en porte un, il faudra vraiment que le jeu en vaille la chandelle…

Ou plutôt son bougeoir…

La preuve en image ?

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Ah ben vi, là, tout de suite…

 

Bon, cela dit, je suis de mauvaises foi, puisque d’abord les postérieurs de mec ne m’ont jamais vraiment fait fantasmer, ensuite, personnellement je n’ai jamais essayé.

 

J’ai quand même un doute certain sur le confort de ce dessous. Le coup de la ficelle dans la raie des fesses, j’ai un a priori négatif, et alors si je me projette vers une vision purement féminine, je pense que cela doit des fois êtres assez l’horreur si l’on considère la morphologie particulière qui fait qu’elles ne font point partie de la gent masculine !

 

Attention, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, je reste un mec, et la vue d’un string qui sied à merveille au derrière de sa propriétaire éveille en moi un certain nombre de sensations qui, si je les décrivais, m’obligeraient à mettre un code d’accès à l’entrée de ce blogue…

Si j’adore mater une belle paire de fesses ainsi mise en valeur, par contre je me demande souvent comment vous faites pour supporter cela toute une journée, Mesdames…

 

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Le mot du jour : String
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13/10/2015

Mhmm...

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Et si Vanessa c’était appellé Lydie, Bobby lui aurait chanté :

 

 

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Le mot du jour : Aubade
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12/09/2015

Ce cher Guillaume...

Il est amusant de constater en lisant la définition de verge que si l’une d’elles est « synonyme de pénis », une autre dit que « la verge est une baguette fine, instrument de châtiment corporel » ; je dis ça, je ne dis rien…

 

Je passerais sur l’unité de longueur qui chez certains pourrait passer pour une vantardise mal placée…

 

Non, décidément, ce mot me fait penser au joli petit ouvrage de Guillaume Apollinaire, « Les onze mille verges » chefs-d’œuvre de la littérature érotique pornographique à lire de toute urgence pour se persuader que dans ce domaine aussi l’écriture même crue, peut être d’une élégance redoutable, à l’ère où le monde s’extasie devant là soient disant audace d’un « cinquante nuances de gris » !

 

Âmes sensibles, méfiance quand même, c’est du hard !

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4° de couverture :

 

Admirateur de Sade, Apollinaire a retenu les leçons du Marquis dont on sent ici la nette influence. “Les onze mille verges” sont celles auxquelles le prince Mony Vibescu se condamne s’il ne parvient pas à honorer vingt fois de suite la délicieuse Culculine. L’auteur d’Alcools s’amuse à faire passer son héros par tous les interdits sexuels : masochisme, scatophile, gérontophile, pédophilie, saphisme et vampirisme. Un précis de pornographie tempéré par l’utilisation du deuxième degré, qui rend le résultat moins vil que chez son maître d’écriture.

 

Citation :

 

«- Mademoiselle, je ne vous ai pas plutôt aperçu que, fou d’amour, j’ai senti mes organes génitaux se tendre vers votre beauté souveraine et je me suis trouvé plus échauffé que si j’avais bu un verre de raki.
- Chez qui ? Chez qui ?
- Je mets ma fortune et mon amour à vos pieds. Si je vous tenais dans un lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même onze mille verges me châtient si je mens !
- Et comment !
- Mes sentiments ne sont pas mensongers. Je ne parle pas ainsi à toutes les femmes. Je ne suis pas un noceur.
- Et ta sœur !
Cette conversation s’échangeait sur le boulevard Malesherbes, un matin ensoleillé. Le mois de mai faisait renaître la nature et les pierrots parisiens piaillaient l’amour sur les arbres reverdis. »

 

 

« De même que les autres Roumains, le beau prince Vibescu songeait à Paris, la Ville lumière, où les femmes, toutes belles, ont toutes aussi la cuisse légère. Lorsqu’il était encore au collège de Bucarest, il lui suffisait de penser à une Parisienne, à la parisienne, pour bander et être obligé de se branler lentement, avec béatitude. Plus tard, il avait déchargé dans maints cons et culs de délicieuses Roumaines. Mais il le sentait bien, il lui fallait une Parisienne. »

 

« Elle se mit sur le dos et ramenant ses cuisses sur son ventre, les genoux pliés, elle ouvrit ses jambes comme un livre. »

 

« La bouche du prince recueillait en bas la liqueur amoureuse que distillait ce con boréal. »

 

« Mony Vibescu en la saisissant avait passé les mains sous son gros cul qui semblait un beau melon qui aurait poussé au soleil de minuit, tant il était blanc et plein. Chacune de ses fesses semblait avoir été taillée dans un bloc de carrare sans défaut et les cuisses qui descendaient en dessous étaient rondes comme les colonnes d’un temple grec. Mais quelle différence ! Les cuisses étaient tièdes et les fesses étaient froides, ce qui est un signe de bonne santé. La fessée les avait rendues un peu roses, si bien qu’on eût dit de ces fesses qu’elles étaient faites de crème mêlée de framboises. »

 

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Le mot du jour : Verge
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02/09/2015

Obsédé...

Je ne suis qu’un homme, que voulez-vous, et il m’arrive d’avoir des envies, des pensées, des rêves libidineux. Comme cela, sans franchement savoir pourquoi, juste pour le plaisir peut-être…

Je l’assume bien volontiers

des fois on y trouve une petite robe rouge qui finit en récit sulfureux sur le blogue dédié, d’autre fois, simplement ici, il suffit juste de repérer le bon mot clef ;-)

J’ai les noms des curieux qui ont cliqué sur les liens !

 

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Le mot du jour : Libidineux
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28/08/2015

À la carte...

Madame, quand je pense à vous, il n’est point d’autres gourmandises qui me viennent à l’envie que les vôtres…

Du sucré de votre bouche, à la douce amertume de votre sexe, de mignardises en morceau de choix, bien des fois j’ai refait le menu, me délectant de vous…

Et vous de moi ; un bon dîner se fait à deux.

Las, si je vous sais gourmande, ce n’est plus de ma cuisine ; ce n’est pas demain la veille que je remettrais le couvert pour vous…

 

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Le mot du jour : Gourmandise
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17/08/2015

Promenons-nous dans...

D’une longue rêverie, 

parcourant les sentiers de son corps, 

confier mon âme à ses seins

et conquérir son mont de Venus

plonger tête la première 

dans sa vallée secrète

douce et envoûtante chaleur

d’un souvenir d’avant réveil…

 

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Le mot du jour : Vénus
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27/07/2015

Conjugaison…

J’aime aimer

J’aime être aimé

J’aime faire l’amour

J’aime qu’elle me fasse l’amour

 

J’aime avoir aimé

J’aime avoir été aimé

J’aime l’amour que nous faisions

J’aime le souvenir de ce que nous étions

 

J’aimerais encore aimer

J’aimerais encore être aimé

J’aimerais l’amour que nous ferons

J’aimerais ce que nous serons…

 

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Le mot du jour : Amour
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26/07/2015

La première…

Et puis un jour, on ose relever la tête. Enfin, pour moi, cela s’est traduit comme cela : j’ai commencé à arpenter la vie en ne contemplant plus le sol, courbé que j’étais sous le poids de mon encombrant boulet, mais redressé, regardant les autres dans les yeux, et l’horizon vers lequel j’allais. Pour être honnête, je m’étais déjà relevé, plus ou moins droit, plein de hardiesse, et puis rapidement, je rebaissais la tête, après tout, c’est notre nature d’être… 

On me disait ici et là que mes congénères étaient bien plus actifs, qu’il se redressait bien plus souvent que moi, et même plus… 
On le disait oui, J’étais jeune, mais eux aussi alors, étais-je normal ? Et plus je me le demandais, moins j’osais relever la tête… 
Et puis un jour est arrivé cette main secourable, différente des autres que je connaissais, du moins quand je dis des autres, je pourrais parler au singulier, parce que…
Elle, elle était plus douce, plus calme, caressante, moi qui n’avais connu alors que de maladroite frénésie. Elle m’a tout de suite mise en confiance, alors fière de mes 16 ans, j’ai relevé la tête, plus haute que je ne l’avais jamais fait, plus droite, Plus ferme que jamais, et puis je l’ai regardé dans les yeux, et là, tout a explosé, comme dans un grand feu d’artifice !

C’est là que j’ai entendu une voix qui disait : « Ne t’en fais pas, cela arrive parfois… Surtout la première fois… »

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Texte initialement paru le 31/03/2008 en participation au Sablier de printemps (amorce 8)
 
 
A ceux qui me demanderont si ce petit texte écrit en 2008 fais partie des souvenir de mes petit cailloux, je répondrais “Joker” ;-)
 
(N’empêche que c’était bien sympa ces “Sablier…” )

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Le mot du jour : Zizi
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14/07/2015

Marchandage...

À question niaise, réponse du même acabit.

Je m’en aperçus à mes dépens il y a quelque temps déjà alors que je vagabondais dans les étals d’un vide grenier.

J’avais repéré quelques vieux appareils photo perdus au milieu d’un bric-à-brac indescriptible.

Je lançais donc ma question à ce que je crus être la tenancière de ce bout de trottoir :

- C’est combien ?

- Cent francs la pipe, deux cents l’amour me lança la matrone en partant dans un grand éclat de rire, dévoilant au passage un sourire où ils manquaient des dents…

 

Je restais un peu coi, d’autant que la dame n’avait pas l’allure d’une gourgandine et encore moins l’âge de demander un tel tarif (quoiqu’en franc, avec l’inflation).

- Maman, tu n’es pas drôle ! Excusez là Monsieur…

 

Je ris à mon tour, histoire de montrer que la chose m’avait amusé, et aussi pour retrouver une certaine prestance que je pense avoir perdu quelques instants, tout décontenancé que je fus…

Finalement, je ne fis pas affaire, ni avec la fille, encore moins avec la mère ; sur le chemin du retour me vinrent en tête mille et une répliques de bon aloi que j’aurais pu renvoyer du tac au tac à la drôle…

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Le mot du jour : Niaise
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19/06/2015

Ambidextre…

Onanisme dites-vous?

Hum, en solitaire le plus souvent, d’une dextre agile et connaisseuse, fidèle d’entre les fidèles, ou alors la méthode Lucien Jeunesse : « À deux mains, si vous le voulez bien ».

 

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Le mot du jour : Onanisme
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10/06/2015

I love you...

Si j’aime les femmes, souvent amie, parfois amante,  je les rêve plus que je ne les conquiers…
J’aime vous savoir camarade, parfois confidente, en tout bien tout honneur.
Par moment, j’aime vous imaginer comme sur «la petite robe rouge», mais de l’écriture à la réalité, il y a généralement un monde…
Même si des fois…
Mesdames, je ne pourrais me passer de vous, toujours pris dans ce difficile contraste entre mon côté cérébral et celui animal.


Tels juliens Clerc, je pourrais chanter «Femme je vous aime» aussi bien que je peux faire mienne le «J’aime regarder les filles» de Patrick Coutin

     


 

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Le mot du jour :Femme
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30/05/2015

Premier émois…

L’autre jour, achetant le canard enchaîné dans un de ces petits kiosques typiquement parisiens, j’ai vu une pub pour un journal que je croyais disparu depuis longtemps, noyé dans les tourbillons de la presse pure cul et qui avait éveillé en moi, il y a bien longtemps, quelques émois troublantes. 

Nous devions avoir 11 ou 12 ans quand un petit camarade de jeux avait ramené «Union», piqué à ses parents, journal de cul qui officiellement parlait sérieusement de sexualité, mais qui permettait surtout de se rincer l’œil,la tête haute, avec des illustrations et des textes autrement plus «hard» quand les «Lui» ou «Playboy» de l’époque hésitais encore à montrer un poil, poils qui servait d’ailleurs plus à cacher qu’a montrer !

 

J’étais à un âge où, si je n’ignorais plus rien sur le côté encyclopédique de la procréation, je commençais à me douter qu’il devait exister un côté ludique de l’entrainement…

 

Et si un «Lui» de mon père, de tant en temps traînait à la maison, ou les Hara Kiri des grands frères me permettaient déjà de me faire une idée intéressante de l’anatomie des dames, ce que nous avons lu et vu (en dessin à l’époque) dans «Union» ouvrait de nouvelles perspectives tentantes bien qu’encore mystérieuses pour nos jeunes âges.

 

Mais je vous parle d’une époque où internet n’existait pas, où dans les librairies, il fallait chercher haut et bien caché ce type de littérature ! 

Où la moindre de ces images était un peu un trésor pour les gamins que nous étions !

Où les enfants avaient encore le coeur pur…

enfin presque…

un peu quoi…

  

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Le mot du jour : Union
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16/04/2015

Quand je pense à Fernande...

 

 

Elles sont belles, taille mannequin évidemment, l’égérie et sa doublure, elles vont prendre la lumière pour s’afficher dans quelques mois en 4 X 3 dans tout Paris.

Et cette chemise blanche certainement faite sur mesure, de soie ou de satin, je ne sais pas trop, presque transparente, qui tombe juste ce qu’il faut, laissant deviner le galbe parfait d’un sein et dès qu’elles bougent les tétons durcis qui frisottent de douces vibrations sous le tissu léger ; je suis sous le charme complet…

 

Mon collègue : « Rêve pas, ce n’est pas de la graine pour ton serin ».

 

Pff, empêcheur de fantasmer en rond !

 

Un des côtés sympas de mon boulot…

 

Désolé, pas de photo, au tarif de ces demoiselles, il y a des risques qui ne se prennent pas ;-)

 

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Le mot du jour : Charme
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19/03/2015

Affriolant...

Il y a trop de trucs moches et affolants, il suffit de regarder les infos du jour ou d’imaginer les résultats de la votation de dimanche…

 

Aujourd’hui, je préfère penser a de belles choses mais tout aussi affolantes, voire affriolantes ; une petite robe rouge glissant sur un corps rêvé, une oreille à mots gentils, une bouche avide et gourmande, un parfum divin, des mains douces et baladeuses, un sexe accueillant comme une promesse de nirvana…

 

Surtout ne pas rouvrir les yeux, garder les paupières closes, rester dans le beau, le bon…

 

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Le mot du jour : Affolant
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05/03/2015

Effeuillage...

Je t’aime ; je défais le petit nœud que tu as dans les cheveux

Un peu ; la fermeture éclair ne résiste pas, la petite robe rouge glisse au sol

Beaucoup ; mes doigts commencent à palpiter d’envie en dégrafant ton soutien-gorge affriolant

Passionnément ; je roule tes bas, un à un, couvrant de baisers la peau ainsi découverte

À la folie ; il ne reste plus que ta petite culotte de dentelle à peine transparente un doigt de chaque côté, je la fais glisser lentement, découvrant à mes yeux ébahit un bel écrin doux et appétissant n’attendant plus que son bijou…
 

Pas du tout certain que j’y résiste longtemps ; Ah Marguerite, que j’aimerais t’effeuiller…

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Le mot du jour : Margueritte.
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