vendredi, 17 février 2012

Aujourd'hui, certitude absolue...

Aujourd’hui, vendredi 17, je sais que nous sommes sur le bon chemin, que la vie nous a fait un beau cadeau.

Cette certitude absolue que nous nous aimons…

Brosse à dent

(012/366)



D’autre 366 à prise rapide…

Vieux Billet…

La vie est amusante des fois. L’autre jour je lisais le billet d’une amie sur son blogue. Elle parlait d’un match de foot en 1980 France - Hollande. Et voilà que je me dis : c’est marrant, j’y étais ! et puis…

Hier, parti dans une phase de grand rangement/triage/poubélisation/faisage de place, voilà que je tombe sur une de ces petites boites aux trésors remplis des souvenirs d’enfants et d’ados, que beaucoup d’entre nous gardent dans un coin. Amusé, j’ouvre et je tombe sur ce billet :

France Hollande

Donc, Gilda, comme tu peux le voir, nous avons assisté, il y a 30 ans au même match !

J’étais mino, et je ne jouais pas dans la même catégorie puisque j’étais invité, quasi VIP. 

Ceux qui me connaissent peuvent s’étonner de me voir dans un tel lieu, sachant que le foot n’est pas ma tasse de thé.

D’abord, gamin, j’aimais bien jouer au foot et les exploits de Saint Étienne sont encore gravés dans ma mémoire. En faite, mon aversion pour ce sport est venue un peu plus tard, quand le bizness à pris le pas sur le sport, quand le fanatisme supporter à pris le pas sur le fair-play sportif. Quand j’ai vu des hordes de chiens galeux gueuler  des « trucmuches encu… ». Bref le foot a perdu tout son intérêt pour moi, sauf peut-être quelques rares grands matchs où le sport et le beau geste tentent de reprendre le dessus. Mais voir un Zidane donner un coup de tête, et n’être presque pas désavoué, alors qu’il sert de modèle à des milliers de gamins qui ne rêvent que d’être comme lui… bel exemple et bon courage aux éducateurs sportif. Si Zidane le fait, pourquoi pas moi…

Mais bon ce France-Hollande, ce n’était pas Zidane, mais les Platini, Janvion, Tresor,Bossis, Bathenay, Six… 

C’étaient des stars, mais pas encore des mannequins vedettes, ils étaient bien payés, mais cela ne frisait pas encore l’indécence, et puis j’étais jeune…