Je pourrais jouer mon pauvre martyr moderne, trois jours de travail éreintant dans un trou perdu, sous le joug d’un client hostile excusant mon manque d’assiduité bloguesque.
Ce ne serait que pur godant [1] .
La réalité est tout autre ; passé la journée d’installation, que je vous ai narrée hier, ce qui suivis ne fut que long tunnel de bla-bla sur scène et de surveillance technique de notre part. À sept heures nous avions fini, et le château où nous étions logés nous offrit piscine, sauna et jacuzzi pour nous détendre.
Un apéro offert pour la technique nous attendait proposé par le châtelain au petit soin pour nous…
Une fois n’est pas coutume, malheureusement…
(050/366)
Venez nous rejoindre, d’autres 366 obsolètes iciNotes :
[1] Godant : Conte, tromperie
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