Argh, que ces bestioles son vils, des pacants[1] à la noix, des saloperies agaçantes, bref des emmerdes à la louche : J’ai nommé la pyrale du buis qui vient lâchement de s’attaquer au notre de buis, sauvage, quasi pas taillé et presque centenaire !
En quelques jours ces chenilles morfales se sont régalées en ne laissant après elles qu’un vague squelette d’arbre et beaucoup de déjection par terre.
Elles sont tellement nombreuses que vous les entendez manger, c’est d’ailleurs cela qui a d’abord attiré mon attention !
La contre-attaque va être redoutable, le feu va rentrer en action. Ce qui est irrécupérable sera impitoyablement brûlé, brochettes de chenille au menu, le reste va être traité à l’insecticide spécial !
C’est bien une des rares fois qu’un insecticide[2] rentre dans ce jardin, mais c’est le buis ou la pyrale, espèce endémique invasive pas de chez nous et à éradiquer sans état d’âme !
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