dimanche, 1 février 2015

366 Alphabétiques...

Février est là, le mois le plus court de l’année, et le dernier des 397 en chanson.

Il est donc temps de commencer à préparer la suite : Les 366 alphabétiques.

 

Le principe est simple, par ordre alphabétique, un mot par jour à traiter comme bon nous semble. Je les ai choisis parmi ceux que vous m’avez offerts en prenant soin d’avoir des mots dont la définition est aisée à trouver avec un bon dictionnaire. Quelques noms propres aussi quand ceux-ci sont presque rentrés dans le langage commun.

 

Les contraintes étant faites pour être contournées, j’ai décidé de n’en mettre qu’une : utiliser dans un texte le mot du jour (ou une de ces déclinaisons – verbe, adjectif…-).

 

Après, Libre à chacun de s’inventer les siennes. Par exemple n’écrire qu’un texte par semaine avec tous les mots concernés.

Où encore, et c’était mon idée de départ, écrire chaque jour, façon abécédaire, une définition personnelle de chaque mot. Je le ferais sûrement pour ceux qui me plaisent le plus.

 

Le top, pour les photographes courageux, serait de faire chaque jour une photo illustrant d’une manière ou l’autre le mot du jour… Un joli défi !

Bien sur, toutes les suggestions sont les bienvenues !

Pour ma part, je démarrerais le 1 ier Mars…

J’espère que vous serez nombreux à participer, ce n’est pas difficile et plus on est de fou, plus…

 

Voici la page du jeu avec tous les mots ainsi qu’un fichier PDF à télécharger : 365_alphabetiques.pdf

Ivresse…

Tu es comme ces amantes infernales

De celle que l’on fuit le matin

Et que l’on recherche la nuit

Tu as pris certains de mes amis

Dans tes chaînes diaboliques

Même moi des soirs tu m’as tenté.

 

J’aime ta douceur enivrante

Qui de l’esprit ouvre des portes

Et déteste cette ivresse infernale

Qui de nous fait quelqu’un d’autre

Quand le cœur dit assez et la tête cris encore

Juste un petit verre, parce que c’est comme ça

 

J’ai le triste souvenir, de soirées enivrées

De cet ami qui n’est jamais rentré

Sauf dans cet arbre au bord de la route

D’une belle qui buvait pour oublier

Oublier quoi ?

Peut-être qu’elle était belle

 

J’ai le doux souvenir de soirées enivrés

Toi et moi, seuls au milieu des autres

Quand les rires et les chants fusent de tous côtés

Quand l’alcool est gai et tes baisers sucrés

Quand la dive bouteille coule à flots de ce nectar divin

Pour le bonheur de tous, le plaisir d’être ensemble

 

Mon petit alcool, tu es une fieffée salope

De celle qui sait nous faire jouir comme jamais une nuit

Et dès le lendemain nous le faire regretter,

Tu nous charmes et nous jettes, tu nous aimes et nous hais

Une fieffée salope, de celle que l’on aime malgré tout

Allez je bois à ta santé, tchin, tu verras c’est du bon…

 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : Lettre à l’alccol.

(363/397)

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