dimanche, 11 octobre 2015

Café Lowendal...

Si j’ai plein de livres qui m’attendent sur la pile, en ce moment j’ai du mal à faire dans autre chose que du léger. Il y a « une femme blessée » de Marina Carrére d’Encausse ou « plonger » de Christophe Ono-dit Biot, mais quand je lis la quatrième de couverture, je n’ai pas le courage de m’y attaquer, trop sombre, trop triste…

Je sens que j’ai besoin de léger, de rire, de simplicité sans prise de tête, Je suis un peu entre deux eaux alors je lis du simple, du facile, du sans conséquence apparente…

J’ai envie de crier youpi, façon méthode Coué, histoire d’essayer d’y croire un peu…

C’est l’avantage des nouvelles, c’est court, l’on peut picorer quand on en a envie, vite lu.

C’est le cas du livre de Tatiana de Rosnay « Café Lowendal et autres nouvelles ». Petites tranches de vie mordante joliment racontée ; de l’amour, du sexe, de l’angoisse, des nouvelles technologies et ses pièges, des trahisons, des histoires de femmes et d’hommes.

Juste à déguster par petit bout en fonction de l’humeur, d’une lecture agréable sans prise de tête, idéal avant de se coucher ou dans le métro ;-)

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4° de couverture :

Solitude, obsession amoureuse, désenchantement… Tatiana de Rosnay égrène, dans ce recueil inédit, dix nouvelles peuplées de personnages un peu perdus, en quête de frissons ou d’affection. Écrivains en crise, couples en pleine déréliction, jeunes gens avides, tous voient un jour leur vie basculer. Pour le pire ou pour le meilleur… Laissez-vous prendre par la petite musique de Tatiana de Rosnay : elle sait à merveille évoquer le timbre un peu fêlé de la mélancolie.

 

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Le mot du jour : Youpi
La liste des 366 Alphabétiques
Les participants du 366 Alphabétiques

 

Le dimanche, c'est Top 50...

N° 1 au top 50 le 1er juillet 1988

 

 

On ne peut pas lutter, des fois, on oublie…

Et pour le coup je n’avais aucun souvenir ni de la dame ni de la chanson, si ce n’est une imperceptible impression de connaître…

Et puis bingo…

Les yaourts, bien sûr…

Mais de la dame et de la chanson d’origine, que dalle.

C’est clair que la pub doit payer quand même, parce que si le clip vaut ce qu’il vaut quant au scénario, il a été fait avec des moyens techniques dignes d’une vraie mise en image léchée et travaillée…

Voilà, « J’ai faim de toi » ne restera que 2 semaines sur la première marche du top 50 et à ma connaissance on entendra plus parler de Sandy Stevens…

de sa musique (et de sa voix), si ! Mais en spot de 30 secondes, jusqu’à plus faim justement !