Après les Champs-Élysées, en route pour ma grande dame parisienne.
Deux mois que les places étaient réservées pour 20 heures, direction le troisième étage.
Ce coup-ci, la chance est avec nous, il fait beau.
Pour nous deux, souvenir de nos 20 ans où je lui avais fait découvrir Paris vu de haut, contre vent et sans marée.
C’était déjà en décembre et il faisait froid !
Pour ses enfants, c’était la première fois qu’ils montaient sur la tour Eiffel.
Au lieu du faisceau habituel qui fait le tour tel un phare en pleine mer, là, il y a plusieurs rayons qui jouent dans le ciel, donnant des fois un petit air de film de science-fiction ; genre Mars attaque.
Redescente, passage au second, vite fait, puis le premier très décevant : mais pourquoi donc avoir installé une patinoire au premier étage ? C’est moche et cela prend de la place !
Et puis les planchers en verre c’est bien et impressionnant… À condition que les vitres soient propres ; parce que là on ne distingue à peine le sol…
Bref ma grande dame restera toujours mon amour parisien, mon monument préféré, mais des fois je me dis que certain créatif devrait franchement arrêter d’avoir des idées, ou réinventer le concept de simplicité, juste comme ça…
En bas, à notre vue, une kyrielle de revendeurs à la sauvette se sauva brusquement ; à moins que ce ne soit l’arrivée impromptue de représentant de l’ordre public.
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Le mot du jour : Kyriel
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