Ce fut donc un samedi soir des plus lumineux puisque pour porter le coup de grâce à mes visiteurs, nous voici fonçant sur les boulevards admirer les vitrines des grands magasins, passage obligé d’un noël parisien.
Là encore, déception pour moi qui aurait aimé retrouver ces souvenirs d’antan, lorsque petit garçon je collais mes yeux émerveillés aux devantures animées.
Les Galeries Lafayette se la jouent guerre des étoiles et autres robots, mignons, mais je trouve qu’il manque le côté festif, pas vraiment exceptionnel.
De son côté, le Printemps fait un peu plus dans le romantique et dans le rêve ; à commencer par un magnifique plafond de fleur.
Les saynètes, elles, font penser au monde du cabaret et de la danse, des fées et des anges. Et puis la tradition est sauf ; comme avant, les marionnettes sont mues par des fils de nylons accrochés à un mécanisme compliqué, un vrai travail d’orfèvre…
Il est 22 heures 30, les deux gamins ne tiennent plus debout ; juste le minimum légal pour se déplacer dans le métro et rentrer.
C’était une belle soirée entre amis, demain le château de Versailles…
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Le mot du jour : Lumineux
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