mardi, 5 janvier 2016

On arrête pas le progrès...

Je ne sais pas plus qui a eu l’excellente idée de m’offrir , à mon anniversaire, «On n’arrête pas le progrès» de jean Yanne, mais il a drôlement bien fait !

 

J’adore Jean Yanne, et j’ai toujours adoré ; je suis un fan inconditionnel. Ce recueil de petites phrases, pensées et autres élucubrations est juste un bonheur. Méchant juste comme il faut, misogyne à point, cynique à foison, bref, du grand et bon Jean Yanne.

 

C’est un livre à picorer, une ou deux pages, par ci par là, et c’est le bonheur.

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4e de couverture :

 

« S’il vous plaît ! Prenez le temps de regarder le portrait de Jean Yanne en couverture de ce livre : j’adore cette photo. C’est vraiment l’image merveilleuse que cet homme m’a laissée. Il y a tout de Yanne sur ce formidable cliché : la douceur, le rire, la défiance, la tendresse et surtout cette immense intelligence des choses que ne trahissent pas ses propos - lesquels sont souvent éblouissants et exceptionnellement drôles. »

 

Jean Yanne nous manque. Son regard acerbe sur la société, son sens de la dérision, sa mauvaise foi irrésistible, sa mauvaise humeur réjouissante sont encore dans toutes les mémoires. Qu’il s’interroge sur le sort des Pères Noël dans les cités HLM, qu’il donne des conseils sur l’évasion fiscale ou qu’il nous livre son point de vue sur la condition féminine, on retrouve, à travers ces pensées, anecdotes et répliques inédites – pour la plupart issues de ses interventions radiophoniques et télévisuelles –, son humour inimitable. Si le progrès a fait évoluer notre quotidien, on constatera que l’absurde et la connerie restent toujours d’actualité !

 

 

 

Extrait :

 

- Vous avez peur des requins ?

- Seulement quand ils sont dans l’eau.

 

 

 

- Faites l’amour, pas la guerre !

- Ou faites les deux, mariez-vous !

 

 

 

- Vous savez gérer votre colère ?

- Oui, quand mes interlocuteurs savent gérer leur connerie.

 

Tout le monde veut sauver la planète mais personne ne veut descendre les poubelles.

j’en connais qui seraient capables de tuer pour avoir le prix Nobel de la paix

Le monde est ainsi fait, il y a des hommes et des femmes, et on les distingue au fait que les femmes ont des salaires plus faibles que les hommes et des seins plus gros.

Je serais à la place des agriculteurs qui déposent du fumier devant les McDo, je me méfierais parce que les gérants vont finir par croire qu’il s’agit d’une livraison.

le plus beau compliment que je puisse faire à une femme est de lui dire : “je suis aussi bien avec toi que si j’étais tout seul”.

La connerie, c’est comme le judo, il fait utiliser la force de l’adversaire.

 

 

 

 

Petite fleur...

J’ai vu une fois un edelweiss, il était séché entre les pages d’un livre.

C’était mon grand-père qui l’avait placé là, du moins je crois et voilà deux jours que j’essaye de me rappeler où je l’ai vu, dans quelle livre…

Je sais qu’elle existe…

Si je la retrouve, vous aurez une photo…

Promis…

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Le mot du jour : Edelweiss
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Les participants du 366 Alphabétiques

Nous irons aux bois...

Un de mes bonheurs réguliers est d’aller faire de longue balade au bois avec Hawaï, c’est juste un plaisir, puisque bénéficiant d’un jardin, il n’y a aucune obligation à le sortir pour ses besoins !

D’ailleurs des fois je me demande si ce n’est pas plutôt lui qui me sort, et du coup je fais mon quota de marche hebdomadaire conseillé par mon toubib.

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Sur une idée de Kozlika ; Pour les autres bonheurs du jour, c’est là