vendredi, 26 février 2016

Hommage...

C’est un joli cadeau que mon frère m’a fait ce soir.

Juste un livre :

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Matières, manières et sociétés - Hommage à Hélène Balfet

Par Françoise Cousin et Christian Pelras.

 

Vous vous demandez certainement qui était Hélène Balfet ?

 

C’était une fille de pasteur née à Vabre en 1922, ethnologue, spécialisé dans les poteries du Maghreb ou des vanneries du Vietnam central, entre autres…

Universitaire, chercheuse, un des piliers du musée de l’Homme de Paris, du musée du protestantisme à Ferrière, ou encore du musée du Bardo d’Alger.

Socialiste, féministe, militante, elle mettra en danger sa carrière universitaire et professionnelle en septembre 1960 en signant l’Appel des 121 « Déclarations sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ».

Et puis elle a fait plein d’autres choses…

 

Bref, c’était une grande dame, et surtout, accessoirement, c’était aussi ma marraine dont je garde un souvenir attendri de gamin quand elle me laissait me perdre dans les galeries du musée de l’homme ou, plus mystérieux, dans les réserves interdites au public…

Plus tard, de longues discussions dans sa cuisine autour d’une assiette de coquillette jambon…

J’ai dans ma collection d’appareils photo son FOCA 2 étoiles (mod pf2bis) avec son jeu d’optique (c’était un peu le Leica du pauvre !) qu’elle emportait dans ses voyages…

Donc cela m’a fait plaisir et drôle de voir qu’un livre lui rendait hommage…

 

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Sur une idée de Kozlika ; Pour les autres bonheurs du jour, c’est là

Fumeuse absinthe...

Connaissant mon goût pour la fée verte, un ami m’avait ramené d’Espagne cette chose qui n’est pas sans rappeler les dialogues d’un célèbre film culte. 

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Pour l’apéro, le tout-venant ayant été piraté, on s’est essayé au bizarre.

Heu comment vous dire ?

Il est un légérement dément de constater que, sur l’étiquette au moins, la chose titre 80° ; on sent bien l’alcool… 

En générale, l’absinthe officiel, titre entre 50 et 55°, même si j’ai gouté d’excellentes productions artisanales qui titrait plus. 

Ensuite, la couleur est un peu trop verte pour être vrai, pour un peu on croirait qu’il y a  d’la pomme  !

Au goût ? Bu vraiment avec modération, ni mauvaise ni bonne, on sent presque trop l’alcool ; elle ne vaut certainement pas celle que l’on trouve dans son Doubs natal, du côté de Pontarlier. 

Et malgré la soi-disant présence de cannabis, je n’ai pas vu d’éléphant, ni rose ni multicolore.

 

Bref, méfiance, je la garde pour la curiosité des uns et des autres…

 

 

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Le mot du jour : Dément, Élephant
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