dimanche, 2 octobre 2016

Tout est bien qui...

Et donc, la suite de mes déboires informatiques.

Quand Apple a décidé, il y a quelques années, d’arrêter la diffusion de son système via CD ou d’autres supports, j’ai fait partie des râleurs, me demandant comment faire pour réinstaller autre part si justement le disque principal venait à flancher.

En fait tout est prévu, les outils de dépannage étant présent dans la ROM (mémoire interne autre que le disque dur), du moins je le suppose, et qui permet de faire face à ce genre de déboire. Seule une connexion internet est quasi obligatoire.

J’ai donc branché un disque dur externe de 2 Terras, démarré en faisant le raccourci clavier «Commande + D», cliquer sur « réinstaller le système » et choisir mon nouveau disque dur, lancer le processus et avoir de la patience puisqu’il faudra environ 5 heures pour en presque finir ; avant de se coucher lancer la restauration de la sauvegarde et au réveil retrouver son Mac comme on l’avait laissé à la dernière sauvegarde…

 

Une fois la machine redémarrée, lancer l’utilitaire idoine (TechToolPro 8) et son test de surface (au bout de 24 heures j’ai arrêté le test puisque de tout manière j’avais ma réponse) qui va confirmer que le disque dur interne est bien corrompu et certainement irrécupérable, et dans le meilleur des cas aucunement fiables…

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Quand je vous dis qu’une sauvegarde est importante, c’est la différence entre une désagréable péripétie et une vraie galère…

Le pire dans tout cela, mon iMac est plus véloce avec son disque externe qu’avec l’ancien interne !

 

Sauvegardez, je vous aurais prévenus…

Le dimanche c'est Top 50...

N° 1 au top 50 le 31 janvier 1994

 

S’il fallait encore une preuve que le top 50 est complètement illogique, il n’y a qu’à regarder celui d’aujourd’hui qui n’a fait qu’une semaine sur la plus haute marche, alors qu’il s’agit d’un des plus gros pourvoyeurs de succès de l’hexagone ; étonnant paradoxe de se « Foule sentimentale » d’Alain Souchon, dont quasiment tout le monde est capable de siffloter la mélodie.

 

Alain Souchon, perso, j’adore, et particulièrement cette chanson où, sous ses airs candides, il dénonce la société de consommation :

 

« On nous fait croire/que le bonheur c’est d’avoir/de l’avoir plein nos armoires/dérision de nous dérisoires ».

 

On rajoute à cela un très bon clip et on se dit que décidément, c’est très bizarre ce Top 50 !