jeudi, 13 octobre 2016

L'amie prodigieuse...

Un bouquin dont le bandeau indiquait : « Le livre que Pennac offre à ses amis » ne pouvait que m’interpeller, et force est de constater que de tous ceux que j’ai lus en 2016, pour l’instant, s’il ne doit en rester qu’un, ce serait celui-là.

Elena Ferrante dans « L’amie prodigieuse » nous plonge dans l’Italie pauvre des années cinquante à travers l’amitié indéfectible de deux copines d’enfances si semblable et si différente en même temps.

 

Pas envie d’en dire beaucoup plus ni de paraphraser la quatrième de couverture ; j’ai eu un très grand plaisir à cette lecture.

 

Simplement rajouter qu’en plus d’une histoire prenante, le style de ce roman est sympathique, ce qui le rend encore plus agréable.

 

J’ai vu qu’il y avait une suite, « Le nouveau nom » d’une saga prévu, paraît-il, en 4 tomes ; je m’en pourlèche les babines d’avance. ;-)

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4e de couverture :

 

« Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile. »

Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition.

 

Formidable voyage dans l’Italie du boom économique, « l’amie prodigieuse » est le portrait de deux héroïnes inoubliables qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse.

 

Page 90 :

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Au fil des pages...

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