N°1 au Top 50 le 30 mars 2002
Plus on avance dans ce classement, plus je m’aperçois que je ne suis pas au fait ou peu de cette « jeune » génération qui fait les beaux jours de la scène musicale des années 2000. Je n’écoute pas les radios à la mode, ma référence en ce domaine est FIP, et n’ayant pas d’enfant, je ne suis plus vraiment au fait de ce qui se fait.
Un bon exemple est Shakira qui débarque avec « Whenever, Wherever » son premier tube mondial. Si je connais de nom, c’est surtout grâce aux magazines « people » qui trônent dans la salle d’attente de mon docteur.
Alors j’ai regardé le clip et entendu la dame ; sans être désagréable à l’oreille, ce n’est clairement pas ma came.
Puis je suis allé faire un tour sur la fiche Wikipedia de la miss, pour m’apercevoir qu’elle ne devait pas son succès qu’à une plastique parfaite, mais qu’elle était bien une artiste complète auteure et compositrice de ses propres chansons, ce qui se fait de plus en plus rare ! Rajoutons qu’elle est douée pour la danse orientale et nous avons un cocktail explosif !
Mais Shakira est aussi une belle personne qui s’investit énormément dans l’humanitaire à travers une fondation qu’elle a montée à 18 ans en faveur des enfants colombiens défavorisés victimes des groupes armés en Colombie avec entre autres la création d’écoles.
Shakira y reverse une grande partie de ses gains, et notamment ceux dus aux publicités qu’elle tourne…
Comme quoi, certaines de celles que l’on considère juste comme de simples bimbos à la mode pour ados boutonneux, cachent en fait de belles âmes.
Aprés, peu importe qu’elle fasse de la soupe, si c’est pour une bonne oeuvre 
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