samedi, 15 mai 2021

The final...

196/366. Aujourd’hui un mot en anglais…

 

…The voice…

 

Ce soir c’est la finale de cette émission, modeste plaisir honteux et inavouable.

Cette saison était particulièrement sympathique  avec de vrais artistes talentueux (ça n’a pas toujours été le cas par le passé) et j’avoue ne pas savoir qui va gagner dans le carré des finalistes tant leurs différentes prestations étaient de grande qualité.

Je garderais peut-être un petit plus pour Jim Bauer, à cause de sa folie créatrice qui va au-delà de la maîtrise technique ; sa reprise de tata yoyo d’Annie Cordy reste un moment mémorable !

 

Par contre, alors que nos amis québécois ont appelé cette émission « La voix », je me demande pourquoi, dans nos contrées, on se sent obligées, comme si c’était un plus, d’utiliser l’anglais ?

 

 

Il y a neuf ans, le début de la suite de la fin…

366 réel à prise rapide.pdf 

 

 

En mai fait...

Nous sommes le 15, il est midi et c’est donc le jour de la photo du mois dont le thème choisit par “Sous mon arbre”  est :

 

« En mai, fais ce qu’il te plaît »

 

Cette année, ça va être facile !

Après notre Covid familiale, les diverses restrictions dues à la crise sanitaire, toutes les fermetures des différents lieux de loisir, notre vie était devenue un peu monotone sur le tempo boulot-métro-dodo !

 

Alors, la semaine prochaine, nous retournerons enfin voir la mer, respirer son air, regarder les vagues, écouter son rythme ; la dernière fois, c’était en août, et franchement, nous en avons vraiment besoin !

 

Pour voir ce que font mes petit camarade de jeux :

 

Akaieric, Amartia, Betty, Blogoth67, Christophe, Danièle.B, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, Frédéric, Gilsoub, Gine, J’habite à Waterford, Jakline, Josette, Julia, La Tribu de Chacha, Lau* des montagnes, Laurent Nicolas, Lavandine, Le souffleur de mots, magda627, Marie-Paule, Philisine Cave, Pilisi, Renepaulhenry, Sous mon arbre, Tambour Major, Xoliv’

Le samedi c'est hit-parade...

N°1 au hit-parade le 22 mai 1981

 

Habitué des chansons provocatrices, Michel Sardou remet le couvert avec son « être une femme » qui va engendrer l’ire des féministes. En 2017, dans une interview, le chanteur reviendra sur la polémique, déclarant entre autres :

 « Les féministes n’ont rien compris, elles n’ont rien dans la tête. J’ai été flagellé, crucifié, alors qu’il n’y avait rien d’antiféministe ! Et aujourd’hui elles font toutes ces métiers. »

 

Polémique ou pas, la chanson se vendra à plus de 700 000 exemplaires et fera les beaux jours des playlistes radiophoniques et des émissions de télé.