samedi, 2 avril 2022

Les réponses du samedi...

En attendant de retrouver une idée musicale pour le samedi, je me suis dit que je pourrais essayer de répondre aux questions du dimanche du Dr Caso 

 

Qui est la personne qui sait le plus de choses personnelles sur vous?

 

Certainement l’Amoureuse ;-)

 

 

De quel(s) instrument(s) aimeriez-vous jouer? Pourquoi?

 

Le violon, j’adore le violon. Petit, j’ai voulu en jouer et quand maman a voulu m’inscrire au conservatoire, on m’a expliqué qu’il fallait d’abord que je fasse 2 ans de solfège avant de toucher l’instrument. J’avais 7 ans, j’ai pleuré et jamais joué de violon, ni fait de solfège ; la bêtise de notre système d’enseignement de la musique, et encore je ne vous parle pas de la flûte à bec à l’école…

 

Quelle grosse bourde avez-vous fait un jour au boulot (ou dans la vie en général)?

 

Au boulot ? Surtout des bourdes techniques qui n’auraient aucune saveur pour les profanes que vous êtes. Dans la vie, je suis un spécialiste es bourde !

Une des plus belles remontes à la fin des années 90 quand j’ai acheté mon premier scanner. À l’époque la chose était très chère. Je disposais alors de la fameuse carte FN*C et recevais donc leurs promos.

Un jour, un scanner HP, compatible mac, en promo autour de 3000 francs, bref de la balle. Je me rends au magasin le plus proche où une accorte vendeuse au magnifique décolleté, détail important, s’empressa de vérifier sur son ordinateur la disponibilité de l’engin. Il en restait en stock, mais pour une obscure raison dont je ne me rappelle plus les détails, genre je ne remplissais pas les conditions pour la promo, elle ne pouvait me le vendre !

Je protestais en disant que j’avais le prospectus et que, loi, droit du consommateur et tutti quanti, qu’elle ne pouvait me refuser la transaction. La belle resta sur sa position. Ayant travaillé comme étudiant à la FN*C, j’en connaissais les rouages, et conseillai donc à la dame d’appeler derechef son supérieur, seul à pouvoir délivrer l’autorisation, ce qu’elle fit.

Effectivement, ce dernier acquiesça dans mon sens et la vente put se faire.

Je regardais alors ma charmante demoiselle et lui assenai :

« Vous voyez, des fois il vaut mieux s’adresser au bon Dieu qu’à ses saints ».

Évidemment, au même moment que je disais ça, mes yeux s’arrêtaient sur son avantageuse poitrine bien mise en évidence.

À voir le regard qu’elle me jeta, je compris immédiatement qu’elle interpréta mes paroles autrement que le sens que j’imaginais lui donner. Je partis rapidement, rouge de honte, imaginant déjà être le goujat de service dans les récits qu’elle en ferait forcément à ses copines…

 

Qu’avez-vous perdu récemment?

 

La foi en la politique…

 

Quel poème ou quelle chanson connaissez-vous par cœur (ou au moins quelques lignes)?

 

Voilà le texte de Bernard Haller que j’aime a débiter sur tous les tons quant au boulot je dois faire des tests micros ; en général, j’ai mon petit succès :

 

Kiki était cocotte et Coco concasseur de cacao. Kiki la cocotte aimait beaucoup Coco le concasseur de cacao. Lorsqu’un jour un marquis caduc et cacochyme conquis par les coquins quinquets de Kiki la cocotte, offrit à Kiki la cocotte un coquet caraco kaki à col de caraculs. Quand Coco le concasseur de cacao appris que Kiki la cocotte avait reçu d’un marquis caduc et cacochyme conquis par les coquins quinquets de Kiki la cocotte un coquet caraco kaki à col de caraculs, Coco le concasseur de cacao s’écria : « je clos mon caquet, je suis cocu » !