Quand dans mes rêves les plus clairs

Éros s’invite pour des songes de chair

C’est à elle que je pense, à ses seins qui se bandent

À ses lèvres, le contour de sa bouche gourmande

Et ce cul, ô mon Dieu, à genoux je l’adore

Et ce sexe béni que j’en perdrais le Nord

Coquillages d’amour, goûteux et bien vivant

Dans lequel il est doux de se perdre en amant

Si d’un rêve érotique le réveil est plus doux

Il m’en reste en bouche un amer arrière-goût.

Coucher de soleil