Apostille[1] , je ne connais la signification de ce mot que depuis quelques mois, quand, curieux de comprendre le titre du livre de Michel Onfray « Apostille au crépuscule » j’ai regardé la définition dans un dictionnaire.
Livre intéressant, réponse argumenté aux virulentes critiques suscitées par son « Crépuscule des Dieux » qui lui-même, crime de lèse-majesté en France, s’attaquait à Freud et à sa doctrine centenaire.
Apostille, c’est aussi ma manie d’annoter les livres que je lis. Genre je souligne une phrase qui m’interpelle et je note le numéro sur la page de garde.
Par exemple, dans « Le poisson-scorpion » de Nicolas Bouvier que je lis en ce moment, page 89 j’ai annoté :
« Celui qui parle ne sait pas, celui qui sait ne parle pas »
Bref, du coup, il faut que je fasse gaffe quand on me prête un livre !
6 réactions
1 De Cristophe - 13/08/2013, 14:49
Et à l'inverse, prêter un livre que tu as annoté ne te gêne pas ?
2 De Gilsoub - 13/08/2013, 15:25
@Cristophe : Non point. Si je l'annote c'est qu'en générale je l'ai trouvé bon, donc c'ets un plaisir de le faire découvrir à d'autre
3 De Hélène - 13/08/2013, 22:46
Ah !! Nicolas Bouvier à Ceylan... Tout comme toi j'ai cette manie de griffonner dans mes livres . Dans celui-ci par exemple page 53 j'ai souligné , entre autres, cette phrase : " Un pas vers le moins est un pas vers le mieux".
4 De Gilsoub - 14/08/2013, 01:56
@Hélène : Bienvenue au club Nicolas Bouvier, il y aurait plein à souligner
5 De El - 14/08/2013, 14:26
Ah, Bouvier...découvert avec Chroniques Japonaises, puis presque tout lu et adoré. Quant aux apostilles : tout pareil ! Et quand je suis très motivée, je les recopie sur un carnet...
6 De Gilsoub - 15/08/2013, 22:44
@El : J'avais commencé le carnet, et puis...