Apostille[1] , je ne connais la signification de ce mot que depuis quelques mois, quand, curieux de comprendre le titre du livre de Michel Onfray « Apostille au crépuscule » j’ai regardé la définition dans un dictionnaire.

Livre intéressant, réponse argumenté aux virulentes critiques suscitées par son « Crépuscule des Dieux » qui lui-même, crime de lèse-majesté en France, s’attaquait à Freud et à sa doctrine centenaire.

Apostille, c’est aussi ma manie d’annoter les livres que je lis. Genre je souligne une phrase qui m’interpelle et je note le numéro sur la page de garde.

Par exemple, dans « Le poisson-scorpion » de Nicolas Bouvier que je lis en ce moment, page 89 j’ai annoté :

« Celui qui parle ne sait pas, celui qui sait ne parle pas »


Apostille au crépuscule
Poisson scorpion

Bref, du coup, il faut que je fasse gaffe quand on me prête un livre !