Si je passe pour un garçon gentil, bien dans sa peau, la vérité est que trop souvent, à l’abri des regards, c’est tempête sous un crâne. 

Même si je me soigne, les pensées vipérines[1] essayent encore de prendre le dessus sur les autres.

Et dire que cela m’agace serait… 

Pourquoi faut-il toujours, quelque en soit le sujet que le négatif soit plus fort que le positif ?

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Notes :

[1] vipérine : venimeuse comme la vipère.