Comme tout blogueur, revient souvent la question des limites de mes billets et de ce que je raconte ; entre fiction et réalité, en écrire assez sans en dire trop, pensées à tiroir, autocensure ou pas

Un jour quelqu’un m’a fait remarquer que certains commentateurs, que par ailleurs je ne connaissais pas dans la vraie vie, se permettaient d’évidente privauté[1] à mon égard. 

À bien y regarder, je ne trouve pas, c’est juste une autre façon de se rencontrer et rares sont ceux qui sont allés trop loin, qui m’ont agacé…

Alors, continuez, c’est aussi cela qui me donne envie de poursuivre cette aventure bloguesque !

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Notes:

[1] Privauté : Grande familiarité.