Au diable tous les faiseurs de bonheur qu’elle décrit dans sa chanson. J’en ai connu des comme cela que mon côté un peu trop cartésien m’a toujours empêché de prendre franchement au sérieux.
De toute ma vie, je crois que je n’ai jamais été aussi zen qu’après quinze jours passés dans mon désert…
Là, en ce moment, cela me travaille, peut importe lequel, d’eau ou de sable, de pierre ou d’herbe, juste de grande immensité à perte de vue où laisser l’esprit vagabonder…
Ce mois-çi : Anne Sylvestre ; la chanson du jour : Zen
(008/397)
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5 réactions
1 De Cristophe
- 08/02/2014, 12:30
Il y a aussi le désert affectif.
2 De Luce Luciole
- 08/02/2014, 12:43
Ah oui, je comprend bien la tentation du désert, pouvoir perdre son regard et sa pensée dans le lointain
3 De charlottine
- 08/02/2014, 13:03
Les étendues désertiques sont aussi pour moi sources d'apaisement, de calme, de réflexion: mer ou sable (en dehors des tempêtes)
4 De Diablotin
- 08/02/2014, 13:55
Je connais cette photo, je l'ai déjà vue quelque part... Ici, non ??? Très belle au demeurant !
5 De Gilsoub
- 09/02/2014, 00:34
@Cristophe : Je le connait aussi celui là, et étrangement il m'attire beaucoup moins !
@Luce Luciole : Je suis certain que tu aimerais beaucoup !
@Charlottine : Dois-je t'avouer que j'adore les tempêtes et les orages ? cela me fascine ! Bon si j'habitais en Bretagne, peut être que je commencerais à en avoir un peu marre
@Diablotin : Il y en a eu quelques une par ici des images de dune