Je crains le jour où, cette maison en bord de mer
L’on me dira que je ne peux plus en jouir
du côté de ma baie, ce petit pied-à-terre
Qui de moi à vous a vu tant de sourires
oui ce jour-là, je crois que je pleurerais
des souvenirs d’enfance, des souvenirs d’amours
Tant que j’ai les clefs, amis, j’y retournerais
avec ce secret espoir que c’est pour toujours…
Et puis du coup j’ai envie de ressortir ces mots déjà publiés ici, parce que je les aimes bien, surement autant que ces murs qui me racontent des histoires…
Dans l’ombre des murs
Se cachent les pleurs
D’une vieille masure
Qui trop tôt se meurt
À l’ombre du mur
Se cache mon cœur
Qui rendu trop dur
À l’ombre de ces peurs
À l’ombre du mur
Se cache le moteur
D’un amour trop mûr
Pour qu’il ne demeure
À l’ombre du mur
Coulent mes pleurs
Tu cours dans l’azur
Et moi je demeure
Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : La maison qui n’existe plus.
(375/397)
2 réactions
1 De B r u m e - 14/02/2015, 12:09
alors, j’ai envie de te dire, profite, profite de l’instant présent sans penser à demain ! il très beau ton texte, ton autre poème aussi, c’est touchant, c’est profond, c’est sincère donc forcément j’aime ! bises Gilles et bon samedi ou “ça me dit” :D
2 De Gilsoub - 14/02/2015, 15:00
@Brume : J’en profite au maximum crois moi, et encore le 21 mars prochain pour les grandes marées, mais difficile de se dire à chaque fois que c’est juste un sursis Et puis sinon merci