Je crains le jour où, cette maison en bord de mer 

L’on me dira que je ne peux plus en jouir

du côté de ma baie, ce petit pied-à-terre

Qui de moi à vous a vu tant de sourires

 

oui ce jour-là, je crois que je pleurerais

des souvenirs d’enfance, des souvenirs d’amours

Tant que j’ai les clefs, amis, j’y retournerais

avec ce secret espoir que c’est pour toujours…

 

 


Et puis du coup j’ai envie de ressortir ces mots déjà publiés ici, parce que je les aimes bien, surement autant que ces murs qui me racontent des histoires…

 

 

 

 

 

Dans l’ombre des murs

Se cachent les pleurs

D’une vieille masure

Qui trop tôt se meurt

 

À l’ombre du mur

 

Se cache mon cœur

Qui rendu trop dur

À l’ombre de ces peurs

 

À l’ombre du mur

 

Se cache le moteur

D’un amour trop mûr

Pour qu’il ne demeure

 

À l’ombre du mur

 

Coulent mes pleurs

Tu cours dans l’azur

Et moi je demeure


 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : La maison qui n’existe plus.

(375/397)

Venez nous rejoindre sur les 397 chansons à prise rapide