Si j’apprécie en général le style de Djian, j’avoue que son « Chéri-chéri » ne m’a pas enthousiasmé plus que cela.

En fait, j’ai eu beaucoup de mal à me plonger dans ce roman, même si, il faut bien l’avouer, arrivée à 50 pages de la fin, j’avais hâte d’en connaître la conclusion.

Il est vrai aussi que j’ai attaqué ce livre dans une période d’intense réflexion, avec l’esprit occupé par d’autres considérations. Ceci explique peut-être cela…

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Quoi qu’il en soit, je pense que Djian a déjà fait beaucoup mieux…

 

4° de couverture :

 

Denis a la quarantaine. Le jour, il mène une vie tranquille d’écrivain et de critique fauché. La nuit, il s’appelle Denise et danse dans un cabaret – même sa femme Hannah ne trouve rien à y redire.

Jusqu’au jour où ses beaux-parents décident d’emménager juste en dessous de chez lui… Paul, son beau-père, révulsé par l’excentricité de son gendre, a bien l’intention de le faire changer. Et en bon mafieux, il croit savoir comment y parvenir. Quant à Veronica, sa belle-mère, c’est tout le contraire : il lui plaît beaucoup, un peu trop même.

Denis pourrait facilement tirer un roman de cet encombrant voisinage, mais pour l’heure, il va devoir surtout sauver sa peau…