Il y a des jours comme cela…

Ou plutôt des semaines…

Hier matin, avant de partir je regarde vite fait le mot du jour histoire d’y penser éventuellement dans la journée…

Et puis arrivé au boulot, pas le temps de poser mon sac, de dire bonjours, de boire un café ; une urgence qui tombe, puis une autre ! Un planning modifié, un rajout, des changements, une demi-heure pour avaler un sandwich, un coup de barre à surmonter et on recommence !

L’après-midi touche à sa fin avec une heure et demie de retard sur l’horaire prévu et brusquement je me souviens ! « C’est le premier mercredi du mois, jour du Paris Carnet ».

Trop crevé, je rentre… Et puis non j’y vais…

À peine le courage de lire dans le métro, du coup je pense à mon papier, plein d’idée, de jolies phrases, au moins trois pages, ce sera un billet sympa que j’écrirais après les agapes du soir…

Belle soirée, repas, bière, rire…

Retour maison, j’allume l’ordinateur…

Yapluka…

Rien…

Tout envolé les mots, les phrases qui coulaient de source, le beau billet attendu s’est perdu dans les limbes de mon cerveau qui à ce moment là ne vaut guère plus que celui d’un zinjanthrope  !

Qu’une seule envie à laquelle je ne résiste pas ! Aller, dormir, car le lendemain je me lève encore plus tôt, pour une journée qui elle, est d’ores et déjà programmée comme fatigante !

Vendredi devrait être plus tranquille, avant un gros samedi de boulot !

Bon ben bonne nuit les gens !

 

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Le mot du jour : Yapluka et zinjanthrope
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Les participants du 366 Alphabétiques