Si j’ai plein de livres qui m’attendent sur la pile, en ce moment j’ai du mal à faire dans autre chose que du léger. Il y a « une femme blessée » de Marina Carrére d’Encausse ou « plonger » de Christophe Ono-dit Biot, mais quand je lis la quatrième de couverture, je n’ai pas le courage de m’y attaquer, trop sombre, trop triste…

Je sens que j’ai besoin de léger, de rire, de simplicité sans prise de tête, Je suis un peu entre deux eaux alors je lis du simple, du facile, du sans conséquence apparente…

J’ai envie de crier youpi, façon méthode Coué, histoire d’essayer d’y croire un peu…

C’est l’avantage des nouvelles, c’est court, l’on peut picorer quand on en a envie, vite lu.

C’est le cas du livre de Tatiana de Rosnay « Café Lowendal et autres nouvelles ». Petites tranches de vie mordante joliment racontée ; de l’amour, du sexe, de l’angoisse, des nouvelles technologies et ses pièges, des trahisons, des histoires de femmes et d’hommes.

Juste à déguster par petit bout en fonction de l’humeur, d’une lecture agréable sans prise de tête, idéal avant de se coucher ou dans le métro ;-)

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4° de couverture :

Solitude, obsession amoureuse, désenchantement… Tatiana de Rosnay égrène, dans ce recueil inédit, dix nouvelles peuplées de personnages un peu perdus, en quête de frissons ou d’affection. Écrivains en crise, couples en pleine déréliction, jeunes gens avides, tous voient un jour leur vie basculer. Pour le pire ou pour le meilleur… Laissez-vous prendre par la petite musique de Tatiana de Rosnay : elle sait à merveille évoquer le timbre un peu fêlé de la mélancolie.

 

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Le mot du jour : Youpi
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