Antiblues nous demande quel est le disque de musique classique que j’emporterais sur une île déserte ?

Bon, déjà est-on certain qu’il y aura de quoi l’écouter ?

Alors, c’est vrai que le classique je n’en consomme pas beaucoup, je n’y connais pas grand-chose (mais m’instruis régulièrement chez le Diablotin.)

 

J’hésite entre-deux : Vivaldi et ses 4 saisons par Nigel Kenedy, parce que je l’aime bien, et ce malgré les commentaires que cela avait provoqués sur un précédent billet ! Billet et dialogue qui m’avait permis de faire une belle rencontre, comme quoi…

 

Mais je crois que j’emporterais plutôt les sonates pour violoncelle de Brahms par Mstislav Rostropovitch et Rudolph Serkin ; un petit bijou dont je ne me lasse pas…