Août 1944, Paris est libéré du joug des nazis, mon grand-père, qui à notre connaissance ne tenait pas particulièrement de journal intime, a mis sur quelques feuillets ses impressions du moment ; allez savoir pourquoi…

 

Capitaine de réserve, il avait été démobilisé dès le début de la guerre pour cause de soutiens de famille, il était alors papa de 10 enfants ; il y en aura deux de plus en 1944…

 

Ingénieur de formation, il travaillait pour une entreprise de meuble de bureau (si mes souvenirs sont bons !).

 

La famille habitait alors une grande maison du côté d’Auteuil.

 

À partir de demain, je vous livrerais donc jour par jour sa chronique, émouvante pour nous ; pour vous, je ne  sais pas ;-)