40/366. Aujourd’hui de l’eau…

 

De l’eau qui coule des yeux, ce doit être la pluie…

Je pense à ces proches qui doivent accompagner celui dont la maladie a fini de ronger les fondations que la vieillesse avait déjà bien attaquées…

Je pense à lui, pleinement concient de ce que son corps lentement l’a abandonné au fil des dernières années ; spectateur impuissant de sa propre déchéance…

On ne peut s’empêcher d’espérer, en même temps que de redouter, cet inéluctable qui enfin le délivrera de cette vie qui n’en est plus une…

 

Oui, il pleut beaucoup…

 

Il y a 8 ans, c’était poétique…

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