Le vendredi, le TGV met quatre heures à rejoindre Quimper, et, de là, si tout va bien, encore une demi-heure pour parvenir à la maison ; il est donc 21h15, et nous pouvons enfin dîner en amoureux.

Ainsi, souvent, j’avoue que je me prends un petit encas pour le voyage, histoire de couper cette infime faim qui s’insinue diaboliquement dans tout mon être.

 

Le lundi, je suis vers 13 heures à Paris et file direct au boulot. Quand j’arrive, je suis censé avoir déjeuné, alors dans le train, plus qu’un encas, je prépare un vrai casse-croûte histoire de tenir jusqu’au soir…

 

Je pense que ceci constitue un des billets les moins intéressants de ce blog !

 

C’était ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo,  on verra si je tiens le mois…