Qu’ils sont difficiles ces lundis matin. Heureusement l’aube bretonne nous donne de jolie lumière, tandis que l’Amoureuse me conduit à la gare. Câlin, bisous, à vendredi soir ; au bout du voyage, ma semaine parisienne.

Petite consolation, ce soir, je dîne avec la Merveille, et ça, c’est bon !