Demain soir : VACAAAAAANCES !

Deux semaines. Deux semaines entières. Deux semaines bénies du calendrier pour faire une seule chose (en plusieurs variantes) : me reposer. Dormir, siester, buller, comater… Le tout en version XXL !!!

 

Au programme ? De grasses mat’ indécentes, des siestes au soleil (ou sous un plaid, selon l’humeur de la météo bretonne), et, bien sûr, profiter de l’Amie qui débarque pour quelques jours en terres finistérienne !

Et puis aussi — et surtout — du temps à deux avec l’Amoureuse. Juste nous deux, en mode slow life.

 

Il faut le dire, j’en ai besoin !

Je réalise que je suis crevé. Le genre de fatigue sournoise qui s’incruste sans prévenir

Je dors bien (très bien, même !), et pourtant… Le soir, je sens bien que mon corps crie “pause !”.

 

Le boulot m’use, et l’âge n’aide pas franchement à recharger les batteries aussi vite qu’avant (oui, j’ai regardé la notice, il n’y a pas de bouton turbo).

Et puis, en y repensant… La dernière vraie coupure, elle remonte à aout.

Et depuis ? Ce n’est pas des vacances que j’ai eues, c’est un triathlon logistique.

Il y a eu d’abord l’installation de la Merveille à Paris (études obligent), puis de notre côté, les cartons à faire (et défaire!), les démarches, les missions en tous genres, le big déménagement, puis l’installation dans le nouveau nid, la mise en vente de l’ancien…

Un vrai jeu de société grandeur nature version “Fatigue & Stress” (sans le joker “repos”).

 

Ajoute à ça la perte de mon oncle bien aimé, et du coup un aller-retour en Suisse plein d’émotions. Une grippe carabinée qui a décidé de s’installer, et qui, dans un élan de générosité, m’a offert une otite en bonus. Quinze jours de fièvre, de courbatures et de “pas la forme, mais pas du tout”. Et si on ajoute un genou grincheux à l’équation…

 

Bref, là, j’arrive au bout du rouleau, mais j’aperçois déjà le canapé au bout du tunnel ! Ces deux semaines de break vont faire un bien fou.

Et le plus beau ? Pas besoin de partir loin pour respirer : maintenant, l’air marin est à 100 mètres de la maison. J’ouvre la porte, et hop ! Plein les poumons.

Vivement demain soir !