« Dame, je veux bien que vous en aimiez un autre en public et moi en secret, si j’en ai tout le profit, et lui les belles paroles. »

Suite au billet précédent, il me manquait de savoir ce qu’il disait le Bernard (ou Bernart) de Ventadour (ou de Ventadorn). J’ai heureusement un voisin utile qui s’appelle Médiathèque, et voilà…

Bernart_de_Ventadour-1

Livre publié en 1958 par Rougerie (éditeur limousin qui existe encore. Cependant ce livre n’est plus à son catalogue). 130 pages, 450 Francs à l’époque.

Le titre de ce billet est extrait d’un texte au sein du chapitre Chansons diverses. Ce qui suit est l’une des Chansons pour la dame de Ventadour. Je ne vous montre que les pages de droite, celles de gauche sont en Occitan.

Bernart_de_Ventadour-2 Bernart_de_Ventadour-3


J’ai glissé dans mon introduction les mots UTILE et VOISIN, imposés par le jeu des 366 Alphabétiques.

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