Le samedi, je me suis dit que je pourrais essayer de répondre aux questions du dimanche du Dr Caso 

 

 

Vos parents vous complimentaient-ils souvent dans votre jeunesse ou étaient-ils plutôt du genre “peux mieux faire!” ?

Oui, ils étaient plutôt du genre à me laisser faire mes expériences, mais toujours prêt à me « rattraper » au cas où !

Ce n’était d’ailleurs pas forcément des compliments, mais très rarement des remontrances sauf à avoir fait une vraie connerie ; et encore là, c’était rarement péremptoire, mais plutôt en vraie discussion sur le pourquoi et le comment.

 

Questions de Mme Chapeau: aimez-vous mâcher du chewing-gum et si oui, quel est votre parfum préféré ?

 

Aujourd’hui, non, mais gamin j’aimais bien les Malabars, surtout parce qu’il faisait de belles bulles ! J’aimais bien aussi les Hollywood à la menthe. Mais ce n’était jamais à la maison, mes parents ne supportaient pas que je rumine ; « tu n’es pas une vache ! ».

 

Quelle est votre vision de l’avenir, et quels sont les moments que vous espérez vivre ?

 

Des vacances sur Mars ?

 

Mon avenir perso, moi qui approche de la soixantaine, je la vois loin de la folie du monde dans mon coin du Finistère, en espérant vieillir à deux en bonne santé…

Par contre l’avenir de l’humanité, je la sens plutôt mal, je ne voudrais pas êtres jeunes aujourd’hui ; la Merveille nous a dit ne pas vouloir d’enfant, vu l’avenir et le monde qui les attend !

Ce que j’espère vivre ? Une vraie prise de conscience sur l’écologie, le climat…

 

 

Question de Cinabre: vous avez fait une découverte majeure: seriez-vous prêts à renoncer aux lauriers et à la fortune pour le bien de l’humanité ?

 

Sûrement,  oui, mais en prenant toutes les précautions pour que les multinationales n’en profitent pas pour s’en foutre plein les poches !

 

Avez-vous une chanson ou un film ou un livre qui évoque des souvenirs particuliers pour vous ?

 

Quelques slows de jeunesse, Angie ou encore Hotel California !

Et puis avec l’Amoureuse on a notre chanson, « Y’a pas de mot » d’Higelin.

 

 

 

Et la question d’Anne :

 

Que mangez-vous, buvez-vous, qui, vous le savez, ne vous convient pas et que votre corps vous le rappelle à chaque fois ?

 

Il n’y a pas de plat particulier que j’aime et que je ne supporterais pas. Seul l’abus de bonne chose est susceptible de me rendre plus ou moins malade, et je dois avouer qu’avec l’âge, mon estomac est beaucoup moins complaisant avec mes excès ; et il sait me le faire savoir !