mercredi, 23 octobre 2024

Corrosif...

Ah la rouille, voilà bien une question récurrente quand on habite à quelques centaines de mètres de la mer ! Et bien sûr, nous y sommes confrontés depuis que nous sommes propriétaires en Bretonnie !

Quand j’ai signé, je savais que le toit serait à refaire, notamment à cause des crochets qui retiennent les ardoises (trés abimé aussi !), bien rouillées ! Les nouveaux sont en bons inox, on verra bien leurs durées !

On a dû aussi remplacer la porte du garage, de base de mauvaise qualité, dont la rouille avait transformé les rails en paillettes. Et la dernière en date, la poignée du portillon du jardin qui a rendu l’âme !

Du coup, pas trop le choix , il faut entretenir ; tous les trois à six mois, graisser toutes les ferrures des fenêtres et portes, surveiller tout ce qui est ferreux et traiter préventivement. Dans le coin, Framéto, W40 et graisse bien épaisse sont tes meilleurs amis ; problème de riche, comme dirait un ami !

 

C’était aussi ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo

 

mardi, 22 octobre 2024

Toujours prêt...

 

Quand j’ai vu le mot du jour, « camp », immédiatement je suis retourné à ma période ado, à l’époque où j’étais éclaireur unioniste. Mes années de scoutisme restent d’excellent souvenir. Non seulement je m’y suis beaucoup amusé, mais j’ai également beaucoup appris, depuis la vie en communauté, jusqu’à la prise d’autonomie.

 

J’adorais les camps d’été, véritable petit village que nous construisions nous-même, juste avec de la ficelle et du bois. Nous avions envie de notre confort. Des plateformes pour les tentes, parfois dans les arbres, des tables et leur banc, la table à feux pour faire la cuisine sur feux de bois et  à hauteur d’hommes,

et même des toilettes, creusés dans le sol, un modeste siège confortable, fabriqué lui aussi ; pour l’hygiène, tous les jours du grésil versé dessus et quand c’est trop plein on recouvre de terre et on recommence plus loin…

Le camp d’été, c’était trois semaines de bonheur en pleine nature, avec des copains, des jeux, des découvertes de région.

Souvenir, souvenir, quand tu nous tiens…

 

C’était aussi ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo

 

lundi, 21 octobre 2024

Le rhino est dans l’escalier…

C’est bien d’avoir un ami qui est fan de rhinocéros, il y en a partout chez lui, jusque dans l’escalier…

 

C’était aussi ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo

 

dimanche, 20 octobre 2024

Ça peut faire peur...

Quand je vois les infos dans le journal, que j’entends l’actualité à la radio, je me dis qu’il existe encore pas mal de zones inexplorées de la connerie humaine ; et c’est déprimant…

 

C’était aussi ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo

 

 

devoir...

42 du 52 de Virginie, saison 6

 

 

Nous voilà repartis pour une 6e saison des 52 de Virginie.

Bien entendu, c’est ouvert à tous, alors n’hésitez pas à nous rejoindre !

 

Studieux

 

N’allez pas croire que la Merveille regarde une quelconque connerie sur internet, à l’heure où j’ai pris cette photo, elle était encore lycéenne et était présentement en train de faire studieusement ses devoirs ; en atteste le classeur qui traîne à côté d’elle.

Je ne l’ai jamais vu travailler à son bureau, studieuse, façon image d’Épinal…

samedi, 19 octobre 2024

Il n'y a pas de crête sans vent...

J’ai failli vous parler de notre voyage de noces, mais la crête qui nous intéresse ayant un petit chapeau circonflexe, c’est tout naturellement que je pense à celles, parfois majestueuses, des vagues !

 

C’était aussi ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo

 

vendredi, 18 octobre 2024

Tchou tchou...

J’aime bien conduire ; entre mon boulot d’avant et les loisirs, genre vacances et week-end, j’ai plusieurs centaines de miliers de  kilomètres au compteur.

Quand j’étais petit, j’ai le souvenir d’être dans la cabine conducteur d’un train, je vois très bien ma fascination des rails qui défilent entre les poteaux électriques. Vous savez, ce type de réminiscence, très flous et très précis en même temps.

J’en avais parlé avec ma maman qui ne se rappelait pas, elle non plus. Elle a émis l’hypothèse d’un vague oncle Suisse qui était chauffeur de train au CFF et qui aurait effectivement pu m’emmener.

Toujours en Suisse, mes grands-parents habitaient un appartement à Neuchâtel qui surplombait la gare de triage, je pouvais passer des heures à observer le manège des wagons poussés sur de multiples voies. J’étais hypnotisé !

 

Tout ça pour dire que pendant longtemps, gamin, je rêvais de conduire des trains, d’en faire mon métier.

Aujourd’hui, installé dans mon TGV, je me dis que c’est pas mal en passager !

 

C’était aussi ma petite participation au InkTober 2024, trouvé chez Matoo

 

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