48 du 52 de Virginie, saison 5

 

 

Nous voilà repartis pour une 5e saison des 52 de Virginie.

Bien entendu, c’est ouvert à tous, alors n’hésitez pas à nous rejoindre !

 

Ce que j’adorais, enfant…

 

J’aimais bien cette période de Noël, promesse de bon manger et de cadeau, alors quelque peu modeste.

Le plaisir de rêver sur les vitrines de Noël.

Souvent on allait voir celle des grands boulevards à Paris,

ou, quand on était en Suisse, celle du magasin « Raymond » à Neuchâtel, institution à l’époque. Il faut dire que ma tante y travaillant, une année on est même revenu avec un train électrique  de démonstration normalement voué à la benne ; un Markling avec 3 voies indépendantes, qui contournait une montagne de carton-pâte ou encore la traversait par un tunnel avant de s’arrêter à une des deux gares existantes ! Papa avait dû acheter des barres de toit pour la R16, et je peux vous dire que le retour fut épique ; la maquette, en un seul morceau, dépassait devant, derrière et sur les côtés !

Et puis Noël c’est le sapin décoré, au pied duquel l’on pose les cadeaux, j’adore toujours.

Enfin, dans mon enfance, Noël était en général synonyme de neige, même à Paris ; je l’avoue, la neige, c’est un truc qui me manque un peu en hiver…