C’est parce que je le vaux bien que quelques fois par an, comme aujourd’hui, je vais travailler chez eux.

Comme souvent dans ce genre de société, l’ont remarque très vites chez les employés une marque de fabrique, un style, une manière d’être. C’est clair que là, chacun et chacune sont dépositaires, démonstrateur des produits de la marque. Et côté parfum, il faut bien le dire, c’est loin d’être désagréable.

J’aime ce moment où une belle femme vous croise, tout sourire. L’important n’est pas cet instant, mais la deuxième seconde qui suit. Celui où la fragrance voluptueuse d’un Paris ou d’un N°5 vient vous caressez le nez. 

La belle, elle, est déjà loin…

boulot

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D’autre 366 à prise rapide…