En train de lire sur mon iPad le journal du matin dans ce métro bondé, et puis cet article qui reviennent sur les attentats, sur ses soignants qui se sont défoncés pour faire face à la situation, ceux qui sont retournés au turbin sans se poser de question, ces héros de tous les jours, qui l’ont été encore plus ce soir-là

 

Et puis là, je n’ai pas compris, les larmes sont venues, juste des larmes, au milieu de ce métro, chaudes, épaisses, nombreuses…

 

Pourtant j’en ai lu des articles, des portraits de victimes, les blessés comme les morts, le Monde fait un très bon travail sur ce sujet…

 

Bien sur qu’au fil de ces lectures j’ai eu de l’empathie, de la tristesse, de l’incompréhension, mais je n’avais jamais pleuré, tout au plus les yeux un peu humides.

 

Alors pourquoi ce papier a-t-il ouvert la bonde à mes pleurs ? Mystère…

 

PS : désolé pour les non-abonnés, je crois que l’article est payant…