37 du 52 de Virginie, saison 5

 

 

Nous voilà repartis pour une 5e saison des 52 de Virginie.

Bien entendu, c’est ouvert à tous, alors n’hésitez pas à nous rejoindre !

 

Je trouve un objet/personnage et je le mets en scène : je raconte une histoire épisode 3

 

Épisode 1

Épisode 2

 

 

On en était resté à ma petite visite chez la fée Kozlika.

Il faut que je vous avoue que le sud de la Bretonnie m’est assez cher depuis un bon moment déjà !

Ado, je passais pas mal de temps au centre nautique de Rosbras Brigneaux, maintenant disparu, qui était ce que l’on appellerait à présent, un lieu alternatif. J’y faisais des stages de voiles et je suis tombé amoureux de la région. Ah ! Les souvenirs de navigation en Pchittt, Vaurien ou Caravelle ; et celui de l’entrée à la voile dans le port de Doélan de Groix à bord de Belon, modeste voilier d’environ 6 m en contre-plaqué, sans moteur, fabriqué au club…

Un jour, il va falloir que je retourne à l’endroit de ces exploits, y confronter ma mémoire…

 

Bref, la vie continue et le puzzle de s’assembler…

 

 

Parmi tous les blogues régulièrement visités, je fais connaissance d’une blogueuse, Luce Luciole, mère d’une jeune Merveille et compagne de François, un autre sympathique blogueur naviguant au cœur du petit monde de Dotclear et qui, malheureusement, décédera en juin 2012 emporté par un cancer foudroyant du poumon…

Si nous communiquons souvent via les commentaires de nos blogues respectifs, nous ne nous rencontrerons qu’une fois lors d’un Paris Carnet.

En 2013, Kozlika me prête sa Couvepenty le temps des vacances de février.

J’y passe une semaine en compagnie de mon frère et d’un ami. Ironie de l’histoire, j’apprendrais bien des années plus tard que Luce Luciole avait aussi sollicité la maison pour ces mêmes vacances, mais comme nous y étions déjà, elle a été autre part !

De notre côté, nous nous sommes bien baladés dans le coin et j’ai adoré faire des photos de vagues offertes par la dernière grosse tempête hivernal.

La vie continue…

 

Quant à ma copine blogueuse, nous correspondons toujours par commentaires interposés. Un jour elle m’envoie un mail pour me dire que mes photos lui font du bien et me demande si elle peut les utiliser en illustration de ses billets…

 

En 2015, je l’invite à la grande fête que je fais pour mes 50 ans, c’est la deuxiéme fois que je la rencontre en vrai…

 

Et tout s’accélère, en 2016 nous nous rapprochons, en 2017 je m’installe à Tours et nous nous « non-marions » au son de la « non-demande en mariage ».

 

Elle a vécu 10 ans à Nice ; j’allais régulièrement à Jullouville en Normandie, la mer était une évidence pour moi, pour elle, pour nous…

Nous nous apercevons qu’elle nous manque…