251/366. Aujourd’hui, quelque chose que je ne comprendrais jamais…

 

La connerie de certains m’échappe. Voilà un monsieur qui est un habitué de la radio, de la TV, chroniqueur régulier. Il connaît parfaitement les codes de la communication au temps des réseaux sociaux, il est au fait des campagnes genre #metoo ; et le gars, là, l’air de rien, il déclare en avril dans un papier à la T.S.F. :

 

« On a perdu cette notion aujourd’hui des beaux garçons. Quand est-ce qu’on va nous sortir des beaux mecs ou des filles sublimes ? Enfin, vous mettez un poster de Hoshi dans votre chambre, vous ? Mais elle est effrayante. Elle a du talent cette fille, mais qu’elle donne ses chansons à des filles sublimes. »

 

À l’époque, Fabien Lecoeuvre s’est pris des retours de Bâtons bien mérités, quand on est con, on est con comme disait Brassens.

 

Aujourd’hui, c’est Grand Corps malade qui en rajoute une dernière couche bien sentie, avec sa chanson « Les gens beaux » et un texte percutant :

 

Eh, Monsieur, toi qui es nostalgique des chanteurs bien foutus, des bimbos. Faut qu’tu saches un secret important, c’est qu’Brassens n’avait pas de beaux abdominaux. Les auteurs-compositeurs chanteurs ne sont pas forcément des imposteurs. Tu sais monsieur, parfois il faut s’taire: moi, j’veux voir Hoshi sur un poster, »

 

J’adore et en plus le clip est super…

 

 

 

Il y a neuf ans, RedBull…

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