Voici longtemps que je n’ai plus vraiment mis de texte sur ce blogue.
Soyons honnête pas trop envie d’écrire, et en ce moment les impromptus m’inspirent moins qu’avant.
Par contre, en privé, je continue à gribouiller des choses sur mes carnets ; souvent sans queues, ni têtes…
Depuis un an, ce carnet est devenu numérique, d’abord cela prend moins de place et puis le but était au départ de tester Dragon Dictate un logiciel de reconnaissance de parole. Cela marche assez bien, même s’il faut bien se relire pour éviter des doubles sens sur des mots mal interprétés. Mais depuis peu, je suis revenu au bon vieux clavier. Je pensais qu’en parlant et en laissant filer ma pensée ce n’en serait que meilleur ; en fait pas du tout, le style est bien plus mauvais qu’en écrivant soi-même !
Côté style justement, je me fais peur quand je me relis. C’est très mauvais !
D’un autre côté, ce n’est pas le but de ces pensées au jour le jour, suite de phrase sans cautèle [1] , brute de décoffrage, pour me faire du bien à moi, me vider de mes maux ou de mes joies.
Cela, je ne le publierais pas, trop intime, pas fait pour être lu…
Se pose alors la question, pourquoi l’écrire ?
Pennach, nous a dit un jour dans un cours que l’on écrivait toujours pour être lu, même les journaux intimes…
Va savoir…
(144/366)
Venez nous rejoindre, d’autres 366 obsolètes iciNotes :
[1] Cautèle : Finesse, prudence mêlée de ruse.
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