dimanche, 4 octobre 2015

Un beau dimanche...

Je vous raconterais bien ma journée, qui fut bonne au demeurant, mais ce serait prendre le risque de vous lasser.

Bricolage au jardin, puis vide-greniers sympathique avec le frangin et le chien, histoire d’habituer un peu  le toutou à la foule (et surtout observer sa réaction, cela ne fait qu’un mois que je l’ai).

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Une dame s’enquiert de savoir si nous comptions remonter la rue ?

-Oui bien sûr…

-J’ai perdu mon mari, un vieux bonhomme avec un Yorkshire, si vous le voyez, vous pouvez lui dire que je l’attends devant l’entrée du stade ?

5 minutes plus tard, je demandais à un monsieur si par hasard il ne cherchait pas sa femme, bingo…

Un copain, tailleur de profession, a fait une démonstration d’une vielle Singer qu’une dame voulait acquérir. Seulement 40 euros ? Pas chers !

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Et puis souvenir, souvenir, je me suis racheté 5 € un vieux téléphone que l’on m’avait volé il y a longtemps, longtemps…

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Et j’ai testé mon nouvel appareil photo…

 

Voilà, et puis ce soir, sûrement le retour de bâton d’un beau dimanche, ou peut-être la perspective d’un lundi pluvieux, malgré Gatsby le magnifique, petit coup de blues…

Alors non, je ne vous raconterais pas ma journée, plus envie…

 

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Le mot du jour : Risque
La liste des 366 Alphabétiques
Les participants du 366 Alphabétiques

Le dimanche, c'est Top 50...

Top 50 au 6 mai 1988

 

Après le crooner pour adolescente prépubère, un autre genre de mec, rebelle un peu rocker, vient à son tour, et pour sa première fois, monter sur la première marche du Top 50.

Il a commencé sa carrière comme acteur, avant de se lancer dans la chanson, il faut dire, même si ce n’est pas le style qu’il utilise, qu’il a déjà une solide formation technique de baryton.

Florent Pagny écrira lui-même « N’importe quoi », parole et musique ; même si je ne suis pas plus fan que cela du monsieur, c’est assez rare pour être souligné.

 

Cette chanson parle d’un ami qui sombre dans la drogue et l’alcool.

Le clip est plutôt sobre, un huis clos tendance monochrome avec des touches de couleur, lumière travaillée, mise en scène simple…

 

Ce sera le premier grand tube d’une belle carrière en dents de scie.