samedi, 25 juin 2016

La haut sur la montagne...

Je crois que j’ai trouvé une partie de mon programme estivale !

Le frangin a eu la bonne idée de quitter sa région poitevine pour rouvrir son cabinet de toubib Hostéo là-haut dans la montagne, en haute Savoie, juste au-dessus d’Évian.

Comme il dit, financièrement, ce n’est pas la meilleure affaire qu’il est fait, mais coté cadre de vie, il n’y a pas photo…

Du coup quand on est allé fêter ses 60 berges, en mai, on c’est fait une petite balade.

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Oh rien de bien fou, mais quand même une belle grimpette en direction du Mont Baron…

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Et là, je me suis rappelé que j’aimais bien marcher, randonner et que cela faisait un bout de temps que je me contentais de me faire de jolies balades, sans plus…

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« Pourtant, que la montagne est belle » nous rappelle le poète, elle se mérite aussi…

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Donc je crois que cet été, s’il arrive enfin, je vais aller me faire quelques belles randos, oh, rien de bien compliqué, des circuits à la journée, cela grouille dans le coin et de tout niveau !

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Et si la forme est là, en cerise sur le gâteau, un petit Graal à atteindre, mon challenge, La Dent d’Oche.

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La dent d’Oche c’est le gros rocher à gauche !

 

J’en ai déjà des fourmis dans les pattes…

 

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Sur une idée de Kozlika ; Pour les autres bonheurs du jour, c’est là

Mes années Mitterrand...

La politique, même si aujourd’hui elle aurait plutôt tendance à me déprimer, m’a toujours passionné.

Il y a peu je parlais des années Mitterrand et de ce sentiment de liberté totale que nous avions vécu avant qu’elle ne soit récupérée ou limité.

François Mitterrand, quoi qu’on en pense, était un grand animal politique, certainement adepte de Machiavel et de son Prince.

Les années Mitterrand resteront dans l’histoire politique de France en ayant fortement marqué toute une génération.

Jean-Louis Bianco fut d’abord secrétaire général de l’Élysée durant 9 ans, donc au plus proche du président, puis ministre sur la fin du deuxième septennat.

Sa vision sur cette période et son expérience sur les coulisses du pouvoir est passionnante pour qui s’y intéresse peu ou prou. De petits secrets en négociation serrée, de coup fourré en coup de génie.

Par contre, s’il est correctement écrit, on ne retiendra pas de « Mes années Mitterrand » un grand style littéraire ; on reste dans du récit pur et dur, sans fioritures aucune.

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4° de couverture : 

 

« On pense à vous pour le poste de secrétaire général. » C’est par ces mots que François Mitterrand, président de la République, m’accueille dans son bureau, un soir de juin 1982. Je resterai secrétaire général pendant neuf années, record de longévité sous la Ve République, avant d’exercer des responsabilités ministérielles aux Affaires sociales et à l’Équipement.

Ce récit, c’est celui des rendez-vous quotidiens avec François Mitterrand pour évoquer la marche du pays. Celui des réveils en pleine nuit par l’annonce d’un attentat, celui des négociations dans les coulisses des grandes réunions internationales, des nuits blanches passées à l’élaboration d’un discours…

J’ai eu la chance de participer, aux côtés de François Mitterrand, à un moment unique dans l’histoire de la France, avec l’arrivée de la gauche au pouvoir. Un moment marqué par de formidables bouleversements, les changements décisifs de 1981 accomplis en quelques mois, la montée du terrorisme international, la fin de la sidérurgie française, la bataille de l’école privée, la chute du Mur de Berlin, la crise en Nouvelle-Calédonie, la cohabitation Mitterrand-Chirac, la guerre du Golfe, la naissance de l’euro…