(Du lundi au dimanche, les jours de la semaine en Allemand, avec une erreur.)
Hash de et par Isabelle Mayereau, 1977.
(Chanson déjà publiée, avec d’autres chansons, dans le billet Des chanteurs dits « de variété ».)
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QUELQUES EXPLICATIONS SUR CE BILLET
29 février 2016 : je ne suis pas encore inscrit sur touiteur, ni sur un autre réseau dit « social », et je vais certainement continuer ainsi car ces choses-là me sont étrangères.
Le jeu des 366 Alphabétiques m’a fait jouer aujourd’hui avec le mot hashtag. J’ai été très déçu que Gilsoub, l’organisateur du jeu, succombe à ce mot à la mode alors que depuis un an il n’a cessé de nous faire honorer notre belle langue française. Si j’ai joué quand même avec le barbare hashtag, c’est parce que l’idée de ce billet est venue à moi comme une illumination, bien que l’idée ne soit pas brillante, et que je n’ai pas voulu auto-censurer ma spontanéité. Néanmoins, après réflexion, pressentant que ce hashtag est le début de la fin, je préfère maintenant me désengager du jeu des 366 Alphabétiques afin de rester sur le bon sentiment que m’ont laissé les 365 mots avant hashtag. C’était donc là ma dernière participation. Merci à l’organisateur du jeu, merci aux autres participantes et participants, sans oublier celles et ceux qui ont abandonné avant moi, merci aux commentatrices et commentateurs, merci aux lectrices et lecteurs restant dans l’ombre, sauf si c’est pour rire à mes dépens sans me le dire, merci à l’internet, merci à l’électricité, merci aux parents qui m’ont conçu avec des doigts assez agiles pour l’utilisation du clavier. #gameover
