mardi, 1 mars 2016

Years & Years...

Un très bon concert hier soir, rattrapage de celui qui devait avoir lieu le 16 novembre et annulé pour cause d’attentat…

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Years & Years c’est de la bonne musique électro comme je l’aime, je dis bonne, parce que la première partie, qui d’ailleurs n’a même pas donné son nom, nous a prouvé que l’électro cela peut vite devenir chiant.

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Ceci dit, c’est important les premiers partis, puisque c’est en passant avant Isaac Delusion (oui bon moi je les avais raté, mais on m’en a telement parlé que j’ai courru écouter !), que j’aie découvert Years & Years…

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Bon, à la vue du public, c’est de la pure musique de d’jeunes que s’en était même agaçant d’avoir à côté de moi deux ados papoteuses qui n’arrêtais pas de jacter et de se pâmer devant le chanteur par des « Oh qu’il est chou, nan mais t’as vu comme il est chou, hannnnn illll est chouuuuuu »

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Ça pulse, ça bouge, il y a de la pêche sur scène et dans les enceintes, le son au Casino de Paris y était excellent et la mise en lumière, bien qu’un peu violente parfois est sympa !

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Une bonne soirée, histoire de me croire 30 ans de moins quelques heures…

 

 

Massage...

Vu le monde, ce doit être une bonne adresse LOL

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Où l’art et la maniére de faire dire n’importe quoi à une image ;-)

Je te proutttte...

Et bien ça va ? Faut pas te gêner connasse !

 

Alors, OK, j’ai bien compris au vu du monde qui patientait sur le quai que le train précédent eût dû être annulé, mais entre nous, sur la ligne N c’est presque la normalité, les Transiliens qui disparaissent !

 

Pourtant à te regarder comme cela, tu fais plutôt quarantaine bon chic bon genre.

On croirait même que tu as été bien élevé alors qu’en fait tu n’es qu’une petite crotte sans classe, une de ces merdes qui ne mérite que d’être emportée par les trombes d’eau en période d’ouverture de chasse.

Au pire, quitte à être conne, au moins tu pourrais sourire, c’est quand même plus agréable pour ceux que tu côtoies malgré eux !

 

C’est quoi ton problème ? La peur de ne pas pouvoir t’asseoir ? Tu sais bien que sur cette fameuse ligne N, on peut quasiment toujours poser son cul depuis qu’ils ont mis ces trains à 2 niveaux !

Bon, j’admets que des fois il faut partager sa banquette avec des fessiers indigents, et puis je ne peux pas te promettre d’être dans le sens de la marche, ni que le parfum de ta voisine ou le déodorant de ton voisin ne soit pas autre chose qu’une babiole puante de supermarché, mais que veux-tu, tels est le calvaire du voyageur en commun.

 

D’un autre côté, le trajet ne fait que 7 minutes, pas de quoi mourir d’inanition si le manque de chance t’oblige à rester debout ! Et vu la fulgurance de ta progression, je n’ai pas l’impression que tu as particulièrement un problème moteur.

 

Donc tu vois, je n’avais pas calculé, mais quand le train tant attendu est arrivé, moitié vide, j’étais juste devant la porte. La manière peu cavalière dont tu t’es brusquement immiscé entre moi et l’ouverture, en soufflant très fort, genre agacé sans même me jeter un regard, comme si j’avais eu l’outrecuidance de te voler ta banquette, la façon dont tu as bousculé la gamine au cartable et un peu aussi le vieux monsieur à la valise, pour te précipiter vers une des cinquantaines de places libres, ben moi, ça m’a énervé !

 

Mais comme je suis poli, je n’ai rien dit, d’ailleurs tu n’en vaux même pas la peine, je n’en pense pas moins de la médiocrité de ta détestable minuscule personne.

 

On nous parle toujours de l’incivilité du jeune Momo de cité, mais jamais de celle de la petite bourgeoise de Banlieue.

 

Tu vas me rétorquer que tu n’es pas la seule, certes, mais pas de chance, ce matin c’est toi qui m’as agacé, et comme tu n’as pas reçu la gifle que tu méritais, ma bonne éducation sans doute (et sûrement aussi un peu ma lâcheté naturelle), je te dédie ce texte fleuri, vieille morue rabougrie !

Il n’y a pas, cela fait du bien de cracher son fiel, de vider son venin, de dire tout ce qui se cache sous le bien trop court « connasse » que l’on pense, voire murmuré entre les dents dans ce genre de situation.

 

Et puis entre nous, c’était jubilatoire à écrire, je me suis bien amusé, et rien que pour ça je crois que je tiens un petit plaisir de la journée.

 

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Sur une idée de Kozlika ; Pour les autres bonheurs du jour, c’est là