Libre de causer devant une bière, elle m’a dit :

 « tu as le droit d’être triste, mais aussi d’être heureux, tu es libre de penser à elle, mais aussi de rêver à d’autre, à la suite… »

Libre de profiter de cette paix royale pour lire, pour écrire…

Libre de réfléchir à l’année passée, aux bons moments ; au moins bon aussi. 

Libre de me dire que c’est mieux ainsi… ou pas…

Libre de me dire que les gars en scooter des mers sont des branleurs qui nous emmerdent dans les mouillages, les mêmes que les scooters des villes…

Bref, libre d’écrire des conneries sur mon Mac, allongé dans le carré du bateau… 

C’est cela ma liberté chérie…


Pression

(187/366)

D’autre 366 à prise rapide…