On est mercredi et mercredi, c’est Canard Enchaîné dont la lecture me repose de la prose de quelques folliculaires plus intéressés par les turpitudes alcoolisées d’un Depardieu ou les histoires de fesses de quelques footeux qui n’ont pas bien compris l’expression « tirer au but », au lieu de poser les bonnes questions sur le monde qui nous entoure ; de se renseigner sur chaque information qu’ils donnent ; de faire une course à la vérité et non pas au scoop audimateux.

Quelle que soit l’époque, j’ai l’impression que le vrai et bon journaliste est une denrée rare noyée au milieu d’une multitude de pisses papier…

canard enchainé

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