L’écran de mon portable diffère beaucoup de mon écran de travail, moins de confort aussi, les embruns marins et peu être les effets secondaires de quelques breuvages locaux…

C’est vrai que souvent je tire mes images un peu dures, même dans la douceur, mais là, pour certain j’ai joué à mon Maurice en dépassant les bornes de la limite…

Si je ne renie pas cette version, que finalement j’aime bien, et qui m’ouvre d’autres perspectives des possibles en matière de développement d’image, l’on apprend beaucoup de ces erreurs, voici une variante de ce que très certainement je vous aurais proposé dans des conditions plus normales ;-)


pré-Andréa