J’ai toujours été fasciné par les vielle bâtisse en ruine… j’aurais bien voulus rentré dans celle là armée de mon appareil photo…

Ruine

Dans l’ombre des murs

Se cachent les pleurs

D’une vieille masure

Qui trop tôt se meurt

 

À l’ombre du mur

 

Se cache mon cœur

Qui rendu trop dur

À l’ombre de ces peurs

 

À l’ombre du mur

 

Se cache le moteur

D’un amour trop mûr

Pour qu’il ne demeure

 

À l’ombre du mur

 

Coulent mes pleurs

Tu cours dans l’azur

Et moi je demeure