L’apanage du travailleur voyageur est d’aller d’hôtel en hôtel…

Pour ma virée anglaise, mes sympathiques clients font dans le beau et confortable ; du moins normalement !

Vous pouvez d’ores et déjà, des fois que c’était dans vos projets, oublier Le Holliday In d’Oxford. Si le personnel est sympathique, le service est au-dessous de tout, je veux dire pour des chambres de ce prix (environ 300 £ la nuit) et le standing qu’ils se disent avoir ! 

Le truc idiot, un petit berlingot de sucre par terre sous la table de la chambre, un peu négligé cote service de chambre ! 

Nous somme trois à table, personne n’est jamais venu enlever le 4e couvert, dont au passage un verre était cassé. 

Ils ont carrément oublié un plat deux soirs de suite. 

Internet à 5£ l’heure (soit environs 6,17) euros; je ne comprends même pas qu’aujourd’hui internet soit encore payant dans ce type d’établissement. 

Coté vue de la fenêtre de ma chambre dommage que, clim oblige, on ne puisse pas l’ouvrir. Juste des arbres qui cachent l’autoroute…


Par la fenêtre de la chambre (81)

Par contre, si vous êtes riches, à Londres, le Novotel Waterloo (cette manie des Anglais de donner des noms de défaite !) vaut le détour, sauf pour la vue de la fenêtre quand vous êtes du mauvais côté du bâtiment. 

Par la fenêtre de la chambre (82)

Le collègue a droit à la vue sur Westminster, moi sur un vieil immeuble tout pourrave…

Mais la chambre est bien confortable, alors…


Ce mois-çi : Jean Ferrat ; la chanson du jour : Chambre d’un moment.

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