Cette chère Dr Caso est une grande curieuse, qui aimerait bien que les blogueurs répondent à quelques-unes de ces questions ; voilà les miennes :

 

 

Quand vous étiez jeunes, quels étaient vos jeux de société favoris ?

 

On n’était pas très « jeux de société », mes parents étaient fans de bridge, trop compliqué pour nous (et à les voir jouer avec leurs amis, je n’ai jamais eu envie d’apprendre ce truc qui avait l’air trop sérieux ! ).

 

Avec mes frères et autre cousin(e)s, outre les classiques 1000 bornes, batailles, 7 familles ou petits chevaux, on adorait le jeu « Richesse du monde », sortent de Monopoly à l’échelle planétaire où il fallait truster, pétrole, blé ou nickel…

 

Plus tard, j’ai découvert le tarot pour des parties endiablées jusqu’au bout de la nuit…

 

 

Est-ce que vous pensez que les gens peuvent changer ? Pourquoi ou pourquoi pas?

 

Bien sûr et heureusement ! Moi le premier ! La vie et ses événements, bon ou mauvais, les individus que vous côtoyez, le travail personnel que vous faites sur vous-même (avec ou sans aides extérieurs).

 

Je ne suis plus le même qu’à 20 ans ni le même qu’il y a 10 ans…

 

Quand j’étais au lycée, de la seconde en terminal, j’avais un grand ami. Nous étions inséparables, nous nous connaissions par Cœur, avons fait les 400 coups ensemble. Si  l’on croisait l’un, l’autre n’était jamais bien loin.

 

Et puis la vie et des choix universitaires bien différents nous ont éloignés à une époque où nuls réseaux sociaux n’existaient pour nous permettre de garder le lien.

 

C’est justement l’arrivée d’internet, bien des années plus tard, qui me donna la possibilité de retrouver sa trace et de le contacter. Nous nous étions donné rendez-vous dans un bistrot pour boire un verre en nous rappelant le bon vieux temps ; las ! L’homme qui se trouva en face de moi, après de longues et hautes études, et une belle carrière professionnelle qui suivait son cours n’était plus celui avec qui j’avais eu plein d’atomes crochus. La rencontre se fit dans une cordialité polie, mais nous n’avions rien à nous dire, plus grand-chose en commun ; nous avions changé, chacun de notre côté.

 

Quelle est la chose qui vous a le plus effrayé dans votre vie ?

 

Voilà une colle ! Je cherche et rien ne me vient à l’esprit. Des peurs, j’en ai ou j’en ai eu, pour moi, pour mes proches, mais je n’arrive pas à en mettre une particulièrement plus en exergue qu’une autre.

 

Est-ce que vous avez participé à des compétitions, jeunes ou adultes? Si oui, lesquelles, et avez-vous gagné?

 

De 8 ans à 16 ou 17, j’ai fait de l’athlétisme et je me suis vite spécialisé dans le fond, et notamment le 3000 m. J’ai fait beaucoup de compétition, et ai gagné quelques-unes et ai même fait partie des espoirs en me qualifiant pour des épreuves régionale et nationale.

J’ai couru à l’époque le fameux cross du Figaro, les 20km de Paris ou le Paris de Versailles.

 

Et puis j’ai arrêté brusquement, cela prenait trop de temps et surtout les compétitions le WE ; l’ado que j’étais préférait traîner avec ses amis…

 

Quel est votre plat ou chose favorite à manger ?

 

Difficile à dire, je suis assez épicurien et il y a très peu de choses que je n’aime pas. J’apprécie bien les plats truffés, j’adore la fondue savoyarde, je peux me damner pour un bon jambon beurre cornichon, le cassoulet c’est quand vous voulez, tout comme la choucroute ou le pot-au-feu.

Il est vrai que je ne peux aller en Suisse sans manger de filets de perches, mais aussi du cervelas avec de la moutarde mi-forte Thommy ou du parfait.

La côte de bœuf au gros sel ne me fait pas peur, pas plus qu’un morceau d’araignée de cheval ou un pied de cochon.

 

Bref, quand c’est bon…

 

Et si d’autre bloggeurs (si,si il en reste !) veulent répondre à leurs tours…