28 degrés à Tours, bien plus au soleil. Il fallait que j’aille faire régler mes lunettes de soleil qui ne tenait plus sur mon nez, il fait beau, dès lors allons à pied, c’est à une vingtaine de minutes.

 

Il y a la théorie, et puis la pratique. Quand il fait chaud comme cela, le masque dans la rue, c’est assez inconfortable pour ne pas dire insupportable. Donc on l’enlève…

 

On fait juste gaffe à rester à distance des autres badauds, voir on s’écarte en cas de croisement trop proche…

 

D’ailleurs rares sont les gens qui portent un masque, ou alors de manière absolument inutile, avec le nez qui dépasse, voir sous le menton ; qui pend à l’oreille le temps de fumer la clope.

 

Par contre, à l‘approche de la rue Nationale, la grande artère commerciale, les masques se font plus présents et la plupart des quidams sortant d’une boutique en revêtent un ; c’est le moindre respect pour ceux qui travaillent dans les magasins, le masque est là pour protéger l’autre, pas soi-même !

 

J’ai remis le mien avant de rentrer dans l’échoppe de mon opticien. Cinq minutes après je ressortais avec des lunettes réglées au cordeau ; et je rangeais mon masque…

 

Puisqu’il fait beau, que le temps de balade ne m’est plus compté, pas plus que la distance d’avec mon domicile, je m’offre un détour par les bords de Loire pour le retour.

Le masque est l’exception, mais il n’y a pas foule et les gens gardent leurs distances. La barque est toujours là, refusant de couler définitivement. Un peu plus loin, un peu de sables, un semblant de plage ; des bains de soleil, mais personnes dans la Loire…

Voilà, finalement j’aurais fait 5 km, mes jambes ne sont plus habituées, mais cela fait du bien !